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COALICIÓN CORED

comunicados.

MANIFESTE DE PARIS ADRESSÉ AU PRÉSIDENT OBIANG LE 15 FÉVRIER 2019

19 Febrero 2019 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

Monsieur le Président,

Nous avons pris connaissance de vos discours prononcés aux Nations Unies, à l’Union Africaine, et à la CEMAC qui n’ont pas manqué de nous surprendre, par le fait que vous dénoncez les mercenaires qui sont en Afrique, en oubliant que la République de Guinée Équatoriale est envahie depuis votre arrivée au pouvoir par les armes le 3 août 1979, de mercenaires étrangers que vous avez recruté pour assurer votre protection et qui sont très coûteux pour l’État, et ce par préférence et au mépris des forces armées équato-guinéennes, ce qui constitue un abandon de la souveraineté nationale en un mot une perte de notre indépendance nationale au profit de l’étranger.

Un tableau paru dans les médias illustre le décalage qu’il y a entre ce que vous affirmez et la réalité en matière de mercenaires en place sur le terrain dans notre propre pays.

C’est cette présence étrangère qui vous a permis de pouvoir contrôler de vrais-faux coups d’Etat – 14 depuis votre arrivée au pouvoir – avec des mercenaires organisateurs sous vos ordres afin de vous permettre de contrôler ces soi disant coups d’ État que vous avez financés comme nous l’a révélé SIMON MANN qui continue à travailler pour vous au Royaume Uni, ce qui vous a permis d’éradiquer et de réduire à sa plus simple expression l’opposition dans le pays et aujourd’hui encore de poursuivre en exil les opposants par des enlèvements de réfugiés politiques au BENIN, au GABON, au CAMEROUN, au NIGÉRIA, et pour les derniers en date, en ESPAGNE et en ITALIE ; kidnappés par vos services lors de leur voyage au TOGO ou par des attentats terroristes, comme ceux organisés en Espagne ou au Royaume-Uni pour tenter de porter atteinte à la COALITION CORED qui représente désormais 21 partis politiques et associations en exil et qui constitue le vrai multipartisme de l’opposition et non pas celui que vous avez tenté de faire constituer avec des partis uniquement acquis à votre cause et qui ne représentent en fait qu’un seul et unique parti : le vôtre.

On ne compte plus les séquestrations et arrestations arbitraires, ni les tortures et les assassinats d’opposants comme le dernier en date survenu la semaine dernière à la prison de BLACK BEACH et pour lequel, comme pour d’autres vous oserez prétendre qu’il est mort à l’hôpital de maladie.

Ce n’est pas en affirmant aux 4 coins du monde, à l’ONU, à l’UNION AFRICAINE, devant l’UNION EUROPÉENNE et en vous faisant décerner des prix de complaisance ou en tentant d’acheter la presse comme l’a affirmé l’Ambassadeur de la Guinée équatoriale en FRANCE, en donnant 500.000 euros à un seul organe de presse, ce qui en dit long sur les moyens que vous dépensez sans compter pour redresser votre image qui se dégrade de jour en jour par l’obstination qui est la vôtre à vouloir diriger le pays sans partage comme vous l’avez fait depuis votre arrivée au pouvoir il y a 39 ans ou depuis un demi-siècle si l’on compte l’action que vous avez mené auprès de votre oncle dont vous avez pris la place au cours d’un coup d’état que vous avez organisé.

Aujourd’hui, malgré les apparences, la misère des classes populaires est cachée derrière les infrastructures qui ont été votre seule préoccupation, laquelle a permis un enrichissement familial sans précédent, entrainant une misère économique et sociale qui fait que 80% de la population pour les statistiques, mais en réalité 95 % vit en dessous du seuil de pauvreté dans le 3ème pays producteur de pétrole d’Afrique.

Vous avez réussi à faire fuir du pays pour ne pas qu’ils votent aux élections plus de 250.000 personnes qui ont préféré aller se réfugier à l’étranger pour ne pas subir le même sort que les 310 et plus, dont la liste est reconnue et que vous continuez à nier, alors que celle-ci n’est que la partie visible d’un iceberg, car elle ne finit pas de s’allonger en raison de la politique que vous menez pour faire en sorte que personne ne puisse s’opposer à votre pouvoir.

L’affaire des biens mal acquis qui nous amène en délégation en ce moment ici à PARIS au Palais de Justice devant la Cour d’Appel, n’est qu’une partie infime de ce que révèle la corruption que vous supervisez, qu’il s’agisse de la FRANCE, des USA, de la SUISSE, de l’ESPAGNE , de l’AFRIQUE DU SUD et récemment encore au BRÉSIL, petit à petit votre famille a été amenée à abandonner sur place entre les mains de la justice en plaidant coupable, la moitié de ce qui avait été détourné et qui se compte en millions de dollars ou d’euros, ce qui constitue une reconnaissance de culpabilité pendant que vous continuez à nier l’existence des « BIENS MAL ACQUIS ».

Il est temps de mettre fin aux fausses amnisties destinées à faire revenir les opposants en exil pour les faire emprisonner et négocier leur liberté contre le fait d’être acquis à votre cause avec des promesses financières ou de promotion à l’appui.

Le 13 février 2019, une délégation de la CORED, autorisée et accompagnée par la police sur notre demande et qui se voulait pacifique en vue de remettre une lettre à votre attention n’a pas pu être reçue par l’Ambassadeur en poste en FRANCE qui a refusé de recevoir la lettre qui vous était destinée, ce qui a provoqué la protestation bruyante des équato-guinéens venus en délégation avenue FOCH.

Cette attitude qui démontre votre absence de volonté de dialogue est révélatrice des fausses table rondes avec l’opposition que vous avez prétendu organiser au nom du multipartisme et qui démontrent si besoin est votre volonté d’ignorer le fait qu’un tiers de la population du pays est en exil en raison de la politique que vous pratiquez et que vous tentez d’ignorer cette importante migration des équato-guinéens vers l’étranger que vous avez privé du droit de vote ce qui remet en cause votre légitimité en tant que président.

Le refus de votre Ambassadeur plénipotentiaire et extraordinaire qui vous représente, a par l’acte qu’il a commis en refusant de nous recevoir, met fin à toute possibilité de négociation avec la COALITION CORED.

Le système que vous avez mis en place a montré ses limites, aujourd’hui, vous devez faire partir de guinée équatoriale, sur la base de ce que vous avez affirmé à l’ONU, tous les mercenaires que vous avez recrutés pour qu’il soient remplacés par les forces armées équato-guinéennes et une force militaire de l’ONU pour contrôler la situation et empêcher les exactions commises contre la population qui ne partage pas vos idées, afin de mettre en place de nouvelles élections libres et démocratiques auxquelles pourront participer tous les équato-guinéens, y compris ceux en exil que vous avez privé de ce droit jusqu’à ce jour et qui doivent pouvoir voter pour la renaissance de notre pays.

La liberté de la presse et des médias doit pouvoir être contrôlée minutieusement pour que l’opposition puisse disposer du temps de parole qui lui a été confisqué depuis votre arrivée au pouvoir.

L’opposition en exil pense que ce n’est que par ces mesures que pourront revenir les vrais investisseurs qui ont fui le régime et que l’on pourra lutter contre la pauvreté due à la corruption endémique dans le pays, facteur de mauvaise répartition des richesses, en revalorisant le rôle et l’utilité économique du travail, afin que la jeunesse retrouve des perspectives d’emploi à la mesure de ses espérances.

C’est la raison pour laquelle, depuis votre arrivée au pouvoir par un coup d’ État, l’opposition ayant épuisé toutes les possibilités de négociation au cours de vos 39 années ininterrompues de pouvoir sans partage, nous vous demandons dans l’intérêt supérieur du pays et en raison des pouvoirs que vous donne la Loi Fondamentale, de démissionner car vos 5 élections consécutives – alors que la Constitution limite à 2 fois les mandats consécutifs – vous ont permis par le fait de l’impossibilité massive des équato-guinéens en exil ou à l’étranger de participer aux élections présidentielles, raison pour laquelle nous vous demandons d’abandonner le pouvoir dans le délai le plus court afin d’organiser des élections présidentielles anticipées libres et transparentes avec l’appui des organisations internationales

Nous vous demandons de trouver ici, Monsieur le Président, notre plus ferme détermination pour obtenir que les droits de l'homme soient respectés en république de guinée équatoriale et que les droits fondamentaux en matière électorale permettant à toute la population en âge légal d’y participer, afin que le programme de renouveau que nous venons de vous exposer soit mis en place pour l’avenir de notre pays,

Pour que vive la République de Guinée équatoriale

 

Salomon ABESO NDONG

Président de la Coalition COREDqui représente 21 partis politiques et associations en exil

et les 250.000 personnes qui ont fuit la guinée équatoriale

ainsi que les 310 personnes assassinées.

 

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HONOFRE OTOGO OTOGO, ASESINADO EN LAS MAZMORRAS DE OBIANG NGUEMA.

9 Febrero 2019 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

 

Es lo que temiamos, Honofre Otogo Otogo y Hector Santiago Ela, fueron detenidos el pasado año,  vilmente torturados por la policia represiva del regimen, lo que nos extrañó fue que el regimen les volvió a colocar en la lista de BUSQUEDA Y CAPUTURA INTERNACIONAL que elaboró el ministerio de seguridad, con intenciones de confundir a la opinión pública nacional e internacional sobre el paradero de ésos ciudadanos.

CORED advirtió acerca de un fatal desenlace de muchos guineanos que fueron secuestrados el pasado año. El presidente Obiang Nguema fué incapaz de hacer cumplir la amnistía que él mismo habia sancionado, debido a que muchos guineanos detenidos ya habian sido aliminados fisicamente.

A fecha de hoy, sabemos y nos consta que el ciudadano HONOFRE OTOGO OTOGO, natural de Akahasi-Esawong del distrito de Mongomo, habia sido asesinado durante las sesiones de torturas en las dependencias carcelerias del regimen de Obiang Nguema Mbasogo. HECTOR SANTIAGO ELA MBANG, se encuentra hasta ahora desaparecido y otros muchos ciudadanos.

La CORED, rechaza categoricamente cualquiera alegación que podria presentar los asesinos de Honofre de que ha falleciso por cancer, y exigimos que no acaparen su cuerpo como nos tiene acostumbrado Teodoro Obiang Nguema de quedarse con los cadaveres. Exigimos al ministro de derechos humanos, si lo es, y al defensor del pueblo, primero que se practique la autopsia de Honofre Otogo Otogo para que se conozca las causas de su fallecimiento en la carcel, y que se presente al publico y familiares a los demás presos presuntamente desaparecidos.

CORED, hace responsables de éstas muertes, a Teodoro Obiang Nguema Mbasogo y a su Ministro de seguridad Nicolas Obama Nchama, y les adelantamos hoy, de que ninguna gota de sangre derramada de esta forma será gratuita. Dar tiempo al tiempo.

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CORED RECHAZA LAS BURDAS ACUSACIONES DE OBIANG NGUEMA.

24 Enero 2019 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

Con fecha 23 de enero del año en curso, nuestro lanzadores de alertas nos comunicaban sobre un documento que estaba siendo leído por los medios de comunicaciones del régimen, pocos minutos después el referido video estaba circulándose por las redes sociales, un video de mala calidad en el cual el gobierno opresor a través de su fiscalía, haciendo referencias a diferentes artículos del reglamento de la CEMAC, ordenaba LA BUSQUEDA Y CAPTURA INTERNCIONAL de personajes de la oposición exiliada entre ellos miembros de la ejecutiva de la CORED.

La coalición para la Restauración de un Estado Democrático en la República de Guinea Ecuatorial CORED, sale al paso de éstas nuevas maniobras del régimen que dirige el dictador longevo Teodoro Obiang Nguema Mbasogo en los siguientes términos:

PRIMERO -“CORED es una de las organizaciones políticas que  sufre la desesperada  situación de Guinea Ecuatorial, queremos que se restablezca la democracia y el respeto por los derechos humanos (…) Seguiremos siendo defensores de nuestro pueblo”.

SEGUNDO – Una vez más, y ya hemos perdido la cuenta, la desnortada tiranía de Malabo lanza a los cuatro vientos acusaciones de graves delitos contra honrados ciudadanos, cuyo único delito es discrepar con la forma que Obiang entiende lo que es gobernar. Y como hace siempre, además de constituirse en juez y parte, aportando pruebas arrancadas con la tortura, no le da a los imputados la oportunidad de defenderse.

TERCERO – Obiang Nguema Mbasogo sabe muy bien que, si los señores  ABESO NDONG, NTUTUMU MABALE ANDÉM y ACOGO NCHAMA tuvieran la posibilidad material de financiar operaciones contra su régimen, éste no duraría ni un telediario.

Los aludidos, lo mismo que la CORED que representan, RECHAZAN DE PLANO la burda acusación, y emplazan al régimen de Malabo a que acepte mantener un debate con la CORED abierto, ante el pueblo guineano, para demostrarle quién es quién en el escenario político guineano. Aporte pruebas legítimas, que la CORED también aportará  las suyas, para ver quién es absolutamente indigno de servir a nuestro pueblo.

La CORED está preparada ante cualquier tipo de contingencia.

Después de que la CORED se armara de valor para formar parte civil contra el ladrón hijo de Obiang en el Proceso de los Bienes Mal Adquiridos, celebrado en Francia, sabíamos de antemano de que el dictador Obiang Nguema cumpliría con las amenazas vertidas por su embajador en París, MIGUEL OYONO NDONG MIFUMU prometió muerte a cada uno de los líderes políticos que tomaron parte en dicho tribunal.

Y ante las nuevas maniobras del régimen opresor de Teodoro Obiang Nguema, que ya son acostumbradas por nuestra coalición política y por nuestro pueblo,  que ésta vez los intensifica para un macabro plan de eliminar a toda la disidencia política para colocar a un drogadicto y un desequilibrado al frente de nuestra Patria.  Advertimos al régimen,  que la CORED no se inmutará por ninguna amenaza ni se doblegará por una dictadura moribunda.

Guinea Ecuatorial es nuestra Patria, nuestro país y la tierra de nuestros ancestros, ningún extranjero, ningún gabonés nos hará claudicarse a reivindicar nuestra LIBERTAD. La Coalición para la Restauración de un Estado Democrático en Guinea Ecuatorial, utilizará todos los medios a su alcance para defenderse de las amenazas del régimen, y de velar por la vida de sus integrantes, sus líderes y nos preocupa el suplicio de los ciudadanos de Guinea Ecuatorial en general.

     Dado en el exilio a 24 enero de 2019.

    LA COALICIÓN PARA LA RESTAURCIÓN DE UN ESTADO DEMOCRÁTICO EN LA REPUBLICA DE

                                                  GUINEA ECUATORIAL-CORED.

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HECHOS DEL 21 DE ENERO DEL 98, RECLAMO DEL CAMBIO POLÍTICO O MUTUO ODIO ÉTNICO

22 Enero 2019 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

El Movimiento para la Autodeterminación de la Isla de Bioko, MAIB, quiere recordar que, el 21 de enero de 2019, se cumplen 21 años de los graves hechos de violencia gubernamental producidos en la Isla de Bioko, contra la población autóctona bubi, por parte del régimen militar y sanguinario que se instaló en el poder el 3 de agosto de 1979.

En el año 1998, durante la madrugada del día 21 de enero, unos cuantos jóvenes bubis hartos de la represión militar a lo largo de la Isla de Bioko en particular, y de Guinea Ecuatorial en general, toman la decisión de revelarse e iniciar un levantamiento contra la dictadura de Obiang Nguema. Atacan con armas de caza menor unos campamentos militares en el sur de la Isla, principalmente en Luba y Moka. Cuando el régimen confirma que los jóvenes rebeldes no disponen de material bélico, inicia una represión generalizada y sin precedentes en toda la Isla.

Fueron detenidos más de 800 bubis; hacinados en las cárceles públicas y periféricas, incluso algunos encarcelados en recintos secretos, torturados, saqueados, extorsionados, coaccionados, violadas mujeres, niñas y ancianas, mutilados algunos, asesinados en los bosques de Bioko cerca de 600 incluyendo expatriados africanos, cuyos cuerpos fueron enterrados clandestinamente, hubo muertos en la cárcel de Black Beach, incluso en la Comisaría Central de Malabo, se eliminó ese mismo año 98 algunos líderes del MAIB como Martín Puye Topepé cuando cumplía 26 años de reclusión mayor, en Costa de Marfil a Atanasio Bitá Rope Laesá en el 2006, juzgado en ausencia y condenado a muerte el 2 de junio de 1998 por el Tribunal Militar que presidió en mayo el juicio sumarísimo contra 117 bubis.

Muchos ciudadanos y expatriados no entendieron que, Obiang, a quien el Movimiento para la Autodeterminación de la isla de Bioko había hecho entrega de un Manifiesto del Pueblo Bubi cinco años antes, noviembre de 1993, reclamándole una mesa de diálogo para diseñar en consenso el proceso de democratización iniciado el 1 de enero de 1992, tenía su propio plan para acabar con las reivindicaciones políticas planteadas por nuestro Movimiento. Como acostumbra a decir en su círculo “el bubi no tiene página en la Historia de Guinea Ecuatorial”. Con los medios estatales a su alcance, y los intereses energéticos de las empresas multinacionales a sus pies, Obiang distorsionó la realidad de los hechos, convirtiendo un acto de rebelión contra su régimen sanguinario a una sedición contra el país para dividir a la población. Manipuló y mintió a través de los medios de comunicación del Estado y sus instituciones para enfrentar a los pueblos de Guinea Ecuatorial, y así poder doblegarlos fácilmente.

Una vez manipulada la opinión pública a través de los medios estatales, animó al cuerpo uniformado y de Seguridad del Estado, encabezando las acciones al Teniente Coronel Gabriel Nzé Obiang, a reprimir a la población bubi en general, acusándole de separatista.

21 años después, 2019, podemos escuchar cánticos contrarios a la política dictatorial, ya se reconoce y se comprende qué reclamaban los jóvenes bubis en 1998. Ya nadie aplaude al régimen de Obiang, ya todos somos oprimidos por igual, sufrimos las mismas peripecias, ya todos somos iguales ante la Ley, incluso lo ha recalcado el pasado 30 de diciembre 2018 su viceprimer ministro, encargado de Interior y Corporaciones Locales, Clemente Engonga Onguene, cuando dice que nadie debe ser responsable de los actos cometidos por otro, en este caso particular, un familiar, su propio hijo, Rubén Clemente Engonga. Pero hace 21 años, en 1998, se detuvo a más de 800 bubis por la acción de una veintena de jóvenes bubis. Se culpó a todos los bubis, incluso si eran del PDGE como fue el caso del diputado Marcelo Lohoso Besam, ingeniero agrónomo y directivo del Ministerio de Agricultura, quien fue torturado simplemente por ser bubi, cuyas lesiones físicas y psicológicas aún sigue padeciendo. En la actualidad, Clemente Nguema Engonga Onguene pretende dar lecciones constitucionalistas cuando un tornado ha pasado por su hogar: “no debe ser culpado por lo que haya hecho su hijo”, en referencia al supuesto golpe de Estado de diciembre de 2017.

Si hoy escuchamos las voces que claman libertad en todo el país, cabría preguntar por qué se reprimió a los bubis en 1998. Se habían revelado para luchar y derrocar al régimen anti-democrático que mal gobierna el país.

Es Obiang, con la complicidad de los mandos militares del Ejército, quien viene marcando la vida política y social, educativa, sanitaria, cultural, laboral, etc. del país desde hace 40 años. Y muchos de sus adeptos, aun siendo civiles, con el principio de “ser vigilantes de la paz”, son parte del sistema represor. En 1998 cometieron barbaridades contra una población indefensa. Aplaudieron la humillación infringida a la población bubi “en su propia tierra”. En definitiva, se solidarizaron con Obiang y su política represiva, étnica y tribal.

Señores, Obiang y su régimen militar seguirán allí hasta que comprendan que los derechos no son para unos cuantos, sino para todo el mundo. El bienestar de uno no debe suponer la desgracia de otro. Hoy los bubis, socialmente están marginados, como ya señaló el mismo Obiang, no tienen parte en la República de todos.

En recuerdo de este fatídico día, 21 de enero, quiero aprovechar dar mis felicitaciones del nuevo año 2019 a todos aquellos que han creído y siguen creyendo que el cambio en Guinea Ecuatorial es posible, no solo en el plano político, sino también en la convivencia interétnica e integración social.

Que cada uno en su interior tenga un minuto de silencio, para echar una mirada retrospectiva de nuestra propia trayectoria. El camino está siendo largo y cansado, pero nada es permanente bajo este sol que nos da vida.

Aprovecho la ocasión para deciros que no pierdan la esperanza, aún el cambio es posible, aunque si miramos 21 años atrás, como los 50 años de la independencia de Guinea Ecuatorial, diremos que el pasado siempre fue mejor. En cambio, el futuro será mejor que el presente.

Malabo, 21 de Enero de 2019

 

 

Weja Chicampo Puye

Coordinador General MAIB

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REPLICA DEL CAPITÁN ALBERT TOUNG ONDO A LA FELICITACIÓN DEL DICTADOR OBIANG NGUEMA A LAS FUERZAS ARMADAS GABONESAS.

9 Enero 2019 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

Le peuple gabonais vient de lire le message du Président de Guinée Équatoriale qui condamne, dans un communiqué officiel le coup d'État du 07/01/2019.
Nous apprécions cette marque de fraternité et sommes sensibles au prix que le président de Guinée Équatoriale accorde ponctuellement  à la paix dans notre pays.
La question qu'on pourrait poser est de savoir pourquoi ce président qui plus est doyen des chefs d'États de la sous région, n'a jamais condamné le massacre au QG de Jean Ping en 2016? 
Pourquoi, condamner ce coup d'État de la liberté ?  
La bravoure de ces soldats ne ressemble t-elle pas à son Golpe de la Libertad en 1979? 
Feu Président Omar Bongo avait une qualité qu'on reconnaît, celle de régler les conflits en gestation. 
Or aujourd'hui, nous assistons au silence des chefs d'États de la régions face aux problèmes du Gabon. 
Ça s'appelle, l'hypocrisie et le cynisme.  
Nous savons que le Gabon n'a jamais été apprécié par ces donneurs de leçons.
Capitaine Albert Toung Ondo

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MENSAJE DE LA CORED AL PUEBLO DE LA REPÚBLICA DE GUINEA ECUATORIAL, CON MOTIVO DEL INICIO DEL AÑO 2019

4 Enero 2019 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

                     

                

Estimados compatriotas:

Días después del inicio del Año Nuevo 2019, la Coalición para la Restauración de un Estado Democrático en la República de Guinea Ecuatorial (CORED) se dirige al Pueblo de Guinea Ecuatorial con este mensaje de esperanza, ante la situación de incertidumbre en los escenarios políticos, económicos y sociales de nuestro país, con la esperanza de que en un futuro no muy lejano se detenga el progresivo deterioro que consume a la sociedad, y juntos podamos construir un país libre y democrático. Nuestra Coalición Le desea a los guineoecuatorianos y guineoecuatorianas un buen año 2019, y promete no fallar al Pueblo en su andadura por acabar con la dictadura y el nepotismo actual en nuestro País.

El acontecimiento político más relevante de la República de Guinea Ecuatorial en el año 2018 tuvo lugar el día 12 de Octubre, cuando el País celebraba el 50 Aniversario de su soberanía nacional, al frente de un dictador golpista, asesino omnipresente desde los primeros 11 años del régimen del primer presidente Francisco Macias Nguema, quien le derrocó del poder mediante un golpe de estado, bautizado por “golpe de libertad”; tras el cual comenzó la tiranía más duradera en nuestros tiempos que en 2019 podría cumplir 40 años. Serían 40 años de mandato con puño de hierro, de un régimen caracterizado por actos criminales, asesinatos a sus adversarios políticos, extorsiones a la población, enriquecimiento ilícito de su entorno y saqueos de bienes ajenos y de todo el dinero que proviene de los recursos del país para beneficio propio y exclusivamente familiar.

Compatriotas:

Mientras que el descubrimiento y posterior explotación del petroleo ha propiciado en 20 años a la familia del dictador Teodoro Obiang Nguema Mbasoso ingresos millonarios, en la población ha aumentado hasta el extremo la miseria, el terror, la represión, en resumen, abusos del poder y violaciones sistemáticas de los derechos humanos.

Con el dinero del país pagan a Estados para secuestrar a los opositores en los países africanos. Pagan a sicarios cantidades millonarias para asesinar o envenenar a los opositores en los países, donde negociaciones tipo secuestro de los opositores no caben lugar.

El año 2018 empezaba con esa misma ola continua de represión contra la oposición interna y externa. El dictador Teodoro Obiang, que “profesa la fe cristiana” monta una intentona golpista, atribuyéndola a la oposición que llama “radical”, y sus miembros fueron detenidos, torturados, asesinados, juzgados sin garantías mínimas de imparcialidad, asediados en la sede de su partido sin comida, sin agua, sin luz. Los discursos duros del presidente Teodoro Obiang a medida que se le van los años, han dado lugar a que sus más crueles colaboradores actúen sin miedo para asesinar, maltratar y destrozar familias en todo el ámbito nacional.

Un régimen que incumple todo lo relativo al respeto de los Derechos Humanos. Organiza Mesas de diálogo nacional con la oposición, donde impone su criterio y la obliga a renunciar bajo amenazas sus ideales políticos. Un presidente, como se ha observado en 2018 que anuncia amnistía para los presos políticos para llamar la atención al mundo internacional, pero que después no libra a nadie, un presidente que ha convertido a nuestro país en un huerto de delincuentes, donde dictadores africanos gozan de plena libertad e impunidad y se hacen con la cosa común que pertenece al guineorcuatoriano.

La delincuencia juvenil que ha crecido caracteriza el año 2018. Los jóvenes sin oportunidades de cambio optan por la violencia. Esa delincuencia ha sido fruto de la delincuencia que propaga el Estado, y que los jóvenes siguen el ejemplo de su “hermano mayor”, el llamado “Patrón” o simplemente Teodorín, quien ostente los cargos de vicepresidente de la República, encargado de la defensa y seguridad del Estado, general de división de las fuerzas terrestres, vicepresidente del Partido Democrático de Guinea Ecuatorial (PDGE), presidente de la Federación de Jóvenes del PDGE-Asociación Hijos de Obiang Nguema (ASHO). Esta última asociación de jóvenes trasciende de la Asociación de “amigos de Obiang Nguema” (MAO), en el que los barrones del mal del país crean una estructura de jóvenes denominada MAO JUNIOR, que efectivamente son reflejo de su hermano mayor “el Patrón” Nguema Obiang Mangue. Quieren parecerse a él, le adoran y le prometen obediencia ciega. Cuando realmente se trata de un desequilibrado sin formación, con un solo título de ser hijo del presidente de Guinea Ecuatorial, Teodorín ha sido la vergüenza más grande del país en el año 2018 por los escándalos que ha protagonizado fuera del país, cuyos resultados ha conocido todo el pueblo de Guinea Ecuatorial, a través de la prensa extranjera y redes sociales; y que no merece aquí la pena detallar. Teodorin es el “hermano mayor”, cuya vida en Francia cuando la sentencia de los “Bienes mal adquiridos” en 2017 se definió: “alcohol, putas y drogas”, hijo de su madre, la primera dama doña Constancia Mangue de Obiang.

El currículo de don Teodoro Nguema Obiang Mangue se completa en 2018 con escándalos:

  • de orgías en los Estados Unidos con un amigo estadounidense, quien fuera encontrado muerto en una habitación que ambos compartían. Eso ocurre cuando asistía en representación de su padre a los trabajos de las sesiones de la ONU en mayo de 2018.

  • de incautación de 16 millones de dólares en Brasil, e inicio de investigaciones sobre el presunto lavado de dinero en ese país y sospechas de que dichas cantidades fueran para financiar ilegalmente al amigo de su padre en prisión, al ex-presidente Lula Da Silva, en las elecciones presidenciales del año pasado.

  • de nuevas imágenes que circulan por redes sociales, en las que el “hermano mayor” de jóvenes de MAO Junior podría a pasar a profesar el Islam, teniendo en cuenta su desequilibrio psíquico, falto de moral y responsabilidad.

  • de las grandes cantidades millonarias que ha gastado la familia en que es primogénito Teodorín en las celebraciones de cumpleaños, tanto de su padre, de su madre y propio, en los que se invitan artista internacionales de prestigio y se traen pasteles en aviones fletados desde los Estados Unidos.

  • de su gran admiración y adoración por la jerarquía de la Conferencia Episcopal de la Iglesia Católica del país, quien para esa Iglesia es considerado ejemplo para los jóvenes a seguir. Lamentablemente, en diciembre del 2018 la Santa Sede, mediante un escrito firmado por Su Santidad el Papa Francisco con motivo de las bodas de oro entre Teodoro Obiang y Constancia Mangue, felicitaba y bendecía a esa familia que arruina Guinea Ecuatorial, que odia a Guinea Ecuatorial, que organiza programas de exterminio y genocidio contra los guineoecuatorianos, mediante la ineficacia premeditada en la organización del sistema sanitario, venta de fármacos falsos y productos alimenticios caducados en las farmacias y dependencias comerciales, en las que ellos mismos son accionistas o propietarios.

    La CORED quiere recordar por otro lado, que en 2007 se celebró en Bata la Segunda Conferencia económica de la malgobernada Guinea Ecuatorial, y se aprobó el Plan Nacional de Desarrollo Económico y Social bautizado por “Guinea Ecuatorial Horizonte 2020. Se pregunta: ¿Sabía el dictador Teodoro que a pesar de su filosofía de “buen saber” el horizonte es inalcanzable? Lo que sí es cierto sin duda, es que cuando se ideó esa mentira, veían el año 2020 lejos de cualquier realidad. Pero el próximo “Feliz Año Nuevo” será el año 2020.

    Lamentablemente:

  • Guinea Ecuatorial no ha alcanzado el desarrollo económico y social que se preveía. Al contrario, por el despilfarro de los ingresos del petróleo y otros recursos naturales por la familia Obiang, las arcas públicas están vacías.

  • Guinea Ecuatorial tenía que declararse () país emergente, auto suficiente dentro del espectro de países de esa categoría. Sin embargo, si comparamos hechos míseros como el control de venta de caracoles en el país por la primera dama doña Constancia Mangue de Obiang, pues Guinea Ecuatorial no solo está lejos de ser un país emergente, sino que es la última en la lista de los países más pobres del planeta. La cerrilla y sal siguen siendo artículos de importación.

  • La sanidad está bajo cero. No hay medicamentos. Los centros sanitarios existentes son negocio estrictamente de la familia presidencial. La presencia de miembros del gobierno y la propia familia de los Obiang en España y en otros países por razones de chequeo y atención médica, es fiel reflejo de que el sector salud está bajo los suelos en Guinea Ecuatorial. Hay un incremento de venta ambulante de productos alimenticios en condiciones anti sanitarias e infrahumanas entre la población, hechos que ven en las ciudades los visitantes extranjeros y cuerpo diplomático acreditado en el país.

  • La educación, basada en considerar ejemplo al “hermano mayor” Patrón Teodorín. El régimen premia a los incultos y los jóvenes siguen ese ejemplo y no quieren estudiar porque ven un montón de miembros de Gobierno y militares sin formación prosperar sin haber ido a la escuela. Se pregunta: ¿de qué sirve estudiar si por ejemplo el mismo Patrón no ha estudiado?

No obstante, la CORED resalta que el guineoecuatoriano ha perdido considerablemente el miedo frente a la tiranía. Un gran logro del año 2018. Gracias a las redes sociales, los ciudadanos han podido estar al corriente de todos los acontecimientos políticos, económicos y sociales de la nación. Toda Guinea está hoy informada de los abusos del poder y de los escándalos protagonizados por el Vicepresidente, y que por primera vez en una acción conjunta, la oposición ha podido con voz clara y unánime exigir la disolución del gobierno por el comportamiento vergonzoso de su vicepresidente en el exterior. La familia Obiang finge no enterarse de nada, pero jamás volverán a estar tranquilos como fueron los tiempos pasados, cuando los guineoecuatorianos  y  guineoecuatorianas no podían comunicarse mutuamente.

La noticia de fallo de la Justicia francesa contra el dictador Obiang Nguema Mbasogo ha entrado en todas las casas, en todos los hogares de todo el ámbito nacional. Son antecedentes que sumados, han demostrado la serenidad del trabajo de la oposición en el exterior encabezado por esta Coalición, reconocida por algunos Estados democráticos y Organismos internacionales. Las constantes manifestaciones en las sedes diplomáticas de Guinea Ecuatorial en el extranjero han sido fruto de la buena sintonía entre los Activistas, Audistas, Políticos y Nuestras Barrenderas, unidos con una sola voz que clama el fin del régimen sanguinario actual de Guinea Ecuatorial, mediante el trabajo continuo de 24 horas de los 365 días del 2018.

Estimados todos y todas:

Desde la posición de la CORED se hace un llamamiento a la oposición dentro y fuera del país para seguir luchando hasta acabar con el régimen de acoso y de violación sistemática de los derechos de los ciudadanos, de la corrupción y saqueo de nuestros recursos nacionales. Hoy mas que nunca debemos presionar, denunciar ante los organismos internacionales toda mala gestión del gobierno que preside el viejo Teodoro Obiang Nguema, en agonía por cansancio e incapacidad física y moral de tomar decisiones por si solo. Debemos estar en alerta junto con el Pueblo porque parece ser que el entorno más colaborador con el régimen, el sector más duro que ha pisoteado los derechos de los ciudadanos en los últimos 30 años está por desplomarse. El año 2019 es crucial y nos obliga a cambiar la retórica, dejar las confrontaciones entre partidos de la oposición, dejar las críticas no constructivas, descalificaciones e insultos que han sido modos caracterizados por el régimen dictatorial contra el que luchamos; centrarnos más en los problemas que hoy preocupan a nuestra sociedad, y señalar la honestidad, fraternidad y justicia como forma de vida para un futuro y próspero gobierno democrático, del que todos hoy soñamos.

Con mejores deseos de paz y bienestar para el Año 2019 !

!Arriba la República de Guinea Ecuatorial !

 

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COMUNICADO INSTITUCIONAL DE LA CORED

8 Octubre 2018 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

              COMUNICADO DE PRENSA

               LA CORED DENUNCIA  LA TENTATIVA DE ASESINATO

      DEL PRÉSIDENTE DE LA ASOCIACIÓN SALOMON ABESO NDONG

          POR EL DICTADOR TEODORO OBIANG NGUEMA MBASOGO.

 

         _____________________________________________________

 

 

El jueves 4 de octubre de 2018, alrededor de las 10 pm, se produjo un incidente provocado por dos hombres encapuchados, aramados y a motocicleta, que dispararon sus respectivas armas a SALOMON ABESO NDONG, presidente de la Asociación Coalición CORED, así como a miembros de su familia que estaban con él delante de su casa.

 

Esta acción criminal se produce el día después de la condena del presidente TEODORO OBIANG NGUEMA MBASOGO, el 3 de octubre de 2018,  por la sala 17 del Tribunal Correccional de París,  (No. RG 18-06847 - No. Portalis 352J-W-B7C-CNCW3), para  pagar 5.000 euros a SALOMON ABESO NDONG, que  sobre la base de información objetiva publicada en la prensa, pero también en las redes de informadores que lo informan constantemente, habían declarado en MEDIAPART luego ante el tribunal, con la ayuda de sus abogados lo siguiente:

 

- Obiang Nguema Mbasogo, violó las reglas de la Constitución debido a la promoción de su hijo TEODORO  NGUEMA OBIANG MANGUE, 22 de mayo de 2012, como Segundo Vicepresidente, una función no prevista en la Constitución de país.

 

-Obiang Nguema Mbasogo, contravenía las reglas de organización de las elecciones de su país, que fue apoyada por múltiples documentos mostrando el fraude electoral establecido y la violación de la constitución, en el sentido de que el presidente no podía presentarse mas de dos veces a las elecciones.

 

-Obiang Nguema Mbasogo,  podría ser acusado de "corrupción y enriquecimiento personal,  bienes mal adquiridos ", que debe ser recordada que LA ASOCIACIÓN COALITION CORED formó parte civil en este caso, que vio al hijo de OBIANG condenado a tres años de cárcel y el decomiso de todos sus bienes en Francia.

 

-Obiang Nguema Mbasogo,  podría ser acusados ​​de "tortura, asesinato de opositores, crímenes de lesa humanidad".

 

- Obiang Nguema Mbasogo, podría ser acusado ​​de actos de canibalismo (la propia hija del dictador denunció estos hechos e incluso reconocido en youtube haber sido violado por su padre).

 

- supuestamente financiaó un crimen de guerra, consistente en la financiación de un intento de golpe de Estado que provocó un Ataque a las fuerzas de las Naciones Unidas desplegadas en la República Centroafricana.  la MINUSCA.

 

Todos estos hechos fueron fundamentados por una extensa documentación y está claro que esta decisión judicial de 21páginas rendidas por la 17ª Sala del Tribunal Penal el 3 de octubre de 2018 sobre la base de los numerosos documentos fácticos presentados como evidencia en la audiencia anterior en el nuevo Palacio de Justicia de París, es la base de la reacción del dictador sediento de sangre que lidera su país con mano de hierro,  ensangrentada y que está dispuesto a hacer cualquier cosa para erradicar a la oposición en su país y en el extranjero, como lo ha demostrado varias veces.

 

La demostración se hizo recientemente en las últimas elecciones por el hecho de que el partido presidencial obtuvo 99  diputados y  un único diputado para el partido de la  oposición.

 

A raíz de dichas  elecciones, el honorable y único diputado de la oposición fue encarcelado, su partido político se disolvió y los militantes de ése partido que se atrevieron a demostrar su insatisfacción fueron condenados a más de 40 años de prisión.

 

En las Naciones Unidas, como parte del debate general de la 73ª sesión, el Presidente Obiang Nguema, fue a MENTIR, alegando que en su país hay 18 partidos políticos,  olvidando  decir que todos están sin excepción unidos a  su partido, por el hecho de que la tortura y el asesinato de oponentes politicos son moneda corriente en su filosofia politica.

 

Fuera de Guinea Ecuatorial, a parte de otras formaciones politicas dispersadas por el planeta, la Coalición CORED aglutina a 20 partidos políticos, movimientos, asociaciones, intelectuales, artistas  y activistas , que se han adheridos a ésta asociación, que están en el exilio mientras esperan el retorno de la democracia en el país.

 

La oposición en el país ha sido  completamente erradicada, las autoridades ecuatoguineanas decidieron hacer lo mismo con la oposición en el exilio y, sobre todo, contra quienes participaron en el escandaloso juicio del hijo de OBIANG que cree que todo está permitido en su país y en el extranjero.

 

Lo que es aún más serio, mientras él dice estar a favor de respetar la integridad territorial de cada Estado miembro, y el principio de no injerencia en los asuntos internos de los Estados, aquí patrocina mercenarios. (hay más de 10,000 reclutados por él en el país) para ir a ejecutar oponentes en el exilio, mientras que en unas pocas semanas, reunió a todo el cuerpo diplomático presentes en Guinea Ecuatorial, afirmó su disposición para dialogar con todos los partidos políticos, sin reunir a la oposición en el exilio, al mismo tiempo que anunció una AMNISTIA GENERAL y la liberación de todos los presos políticos, solo para incitar a los opositores a volver a casa sin la más mínimas garantías de seguridad, y esta promesa, como otras, no se ha cumplido, demostrando así que su palabra y su firma son inútiles, tanto en términos políticos como en términos  económicos en las decisiones que toma o en los contratos que firma para atraer inversores  extranjeros como dijo recientemente en la tribuna de la ONU.

 

El presidente OBIANG está muy interesado en el respeto de integridad territorial de cada Estado miembro y el principio de no injerencia en los asuntos internos, es en estas condiciones que intentó asesinar en España, en su domicilio, a GERMAN  Pedro  TOMO MANGUE, ex miembro de su Partido Presidencial (PDGE), salvado por el hecho de que, por error, es su hermano, ex embajador en China y Bélgica, quien fue apuñalado por asesinos encargados por el dictador, así mismo asesinó a BITÁ en Costa de Marfil, miembro del MAIB.

 

Todos aquellos que asistieron en el juicio correccional del hijo de OBIANG, ausente ante los jueces, pueden colaborar  del testimonio del único testigo convovado por su defensa para  exonerar al propietario de las propiedades mal adquiridas, es gracias a los descubrimientos hechos con el testimonio del mercenario Simon MANN, organizador dr un fallido golpe de Estado que finalmente confesó ante el Tribunal Penal de París que estaba trabajando, de hecho, en el Reino Unido para el dictador, para vigilar a los oponentes en el exilio, que acreditan el hecho de que hay una célula en Inglaterra construida desde cero por el dictador OBIANG para erradicar a los oponentes.

 

Es probable que lo obstaculice en su dominio eterno del poder.

En este momento es el presidente de la Asociación  COALITION CORED, quien denuncia desde su cama de hospital, donde se encuentra en lugar Secreto y su hogar custodiado e invertido por la policía, este nuevo crimen cometido por el dictador OBIANG, es  esperada que la policía de Londres arrojara luz sobre este caso, que necesariamente protestaremos ante la MINISTERIO DE ASUNTOS EXTERIORES del Reino Unido,  para solicitar el cierre de la Embajada de Guinea Ecuatorial en el Reino Unido que es la columna vertebral de estas acciones criminales decididas por OBIANG.

 

En vista de la acumulación de hechos relacionados con los delitos del dictador en Guinea Ecuatorial y en el extranjero, los únicos actos de tortura contra un grupo determinado como CORED se consideran en el sentido del derecho internacional como delitos contra Humanidad, el presidente de la COALICION CORED ... solicita en nombre de todos los partidos y asociaciones que representa, la creación de una investigación internacional sobre este tema para poner fin a las acciones criminales cometidas durante varias décadas por el Presidente Obiang Nguema Mbasogo.

 

LA ASOCIACIÓN COALITION CORED, que representa a 20 partidos políticos, movimientos, asociaciones, artistas, activistas e intelectuales, todos en el exilio, así como a los 200.000 guineoecuatorianos que estamos huidos del régimen para no ser asesinados, y los más de 310 opositores asesinados por el dictador TEODORO OBIANG NGUEMA MBASOGO  por atreverse a bloquear su camino para permanecer en el poder sin compartir e Ininterrumpido durante 39 años como Presidente de la República de Guinea Ecuatorial.

 

Lista de los 20 partidos políticos y asociaciones que componen la Asociación Coalición CORED, son todos los que apoyaron la parte civil en el proceso contra el hijo de Obiang Nguema y toda la lucha a emprender en el futuro:

 

  • CANDIDATURA INDEPENDIENTE DE GUINEA ECUATORIAL. (CIGE-REINO UNIDO).
  • UNIÓN PARA LA DEMOCRACIA Y DESARROLLO SOCIAL. (UDDS-GABON).
  • COMITÉ CLANDESTINO DEL MANDO REVOLUCIONARIO. (CCMR-ESPAÑA).
  • MOVIMIENTO PARA LA AUTODETERMINACION DE LA ISLA DE BIOKO. (MAIB-GUINEA ECUATORIAL).
  • PARTIDO POLITICO UNIÓN POPULAR.  

(U.P.-GUINEA ECUATORIAL).

  • CONGRESO NACIONAL DE LOS PUEBLOS DE GUINEA ECUATORIAL. (CNPGE-ESPAÑA).
  • ACCIÓN POPULAR DE GUINEA ECUATORIAL (APGE-ESPAÑA).
  • ACTIVISTA SOCIEDAD CIVIL ADHERIDA. (ASCA-GABON).
  • ASOCIACIÓN PARA LA TRANSPARENCIA EN GUINEA ECUATORIAL. (ASOGET-GABON).
  • RADIO MACUTO, LA VOZ DE LOS SIN VOZ.
  • PARTIDO CONSERVADOR DE GUINEA ECUATORIAL.

(PCGE-CANADA).

  • ACTIVISTA POR LOS DERECHOS CIVILES. (ADC-USA).
  • COMITE DE RESISTENCIA POPULAR.(CRP-GABON).
  • ACTIVISTA POR LAS LIBERTADES SOCIALES.
  • ACTIVISTA ACCIÓN FEMENINA DE GUINEA ECUATORIAL (AFGE-GABON)
  • ACTIVISTA CONSEJERO ESTRATEGICO DE LA OPOSICIÓN.

(ACEO-USA).

  • ACTIVISTA CULTURAL.(ESPAÑA)
  • ACTIVISTA CIVICO PARA LIBERTADES, DEMOCRACIA Y EL ESTADO DE DERECHO. (Guinea Ecuatorial).
  • ACTIVISTA ACCIÓN SOCIAL, POLITICO Y ECOLOGICO.

(ASPE-ESPAÑA)

  • ACTIVISTA Y PERSONA ADHERIDA A LA COALICION CORED.

(ESPAÑA).

 

 

 

Los representantes de la ASOCIACIÓN CORED están a disposición de los medios de comunicación para explicar su enfoque.

 

 

                 LA SECRETARIA GENERAL DE LA CORED.

 

 

                         Filiberto Ntutumu Mabale Andém.

 

 

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OBIANG INTENTÓ ASESINAR AL PRESIDENTE DE LA COALICIÓN CORED

6 Octubre 2018 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

Al día siguiente de la condena del Presidente TEODORO OBIANG NGUEMA MBASOGO por el Tribunal correccional de París, a pagarle 5.000 euros a SALOMÓN ABESO NDONG PRÉSIDENTE de la COALICIÓN CORED, las acusaciones criminales formuladas en MEDIAPART se revelaron fundadas, porque apoyadas por hechos factuales, el dictador OBIANG no vaciló en hacer asesinar al que le hizo condenar.

 

                     COMUNICADO DE PRENSA DE LA COALICIÓN CORED

Que representa 20 partidos políticos, asociaciones, movimiento y personas adheridas, en el exilio así como los 200.000 ecuatoguineanos que tuvieron que evitar al régimen para no hacerse asesinar, y los más de 310 opositores asesinados por el dictador TEODORO OBIANG NGUEMA MBASOGO,  por haberse atrevido a intentar cortarle el paso,  para mantenerse en el poder  interrupidamente durante 39 años como presidente de la República de Guinea Ecuatorial.

Este jueves, 4 de octubre de 2018, hacia las 22 horas un diluvio de fuego librado por las armas de dos hombres enmascarados a motocicleta cayó sobre SALOMÓN ABESO NDONG, Presidente de la COALICIÓN CORED,  así como sobre los miembros de su familia que estaban con él delante de su casa.

Esta acción criminal interviene al día siguiente de la condena del Presidente TEODORO OBIANG NGUEMA MBASOGO sobrevenida el 3 de octubre de 2018, a pagarle la suma de 5.000 euros a SALOMÓN ABESO NDONG que teniendo como base informaciones factuales aparecidas en la prensa, pero también procedente de las redes de informadores que le informan sin interrupción, había afirmado en MEDIAPART luego delante del tribunal, con la ayuda de sus abogados que el mandatario ecuatoguineano tenía:

- Infringido las reglas de la Constitución a razón de la promoción de su hijo TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE, el 22 de mayo de 2012, como el segundo vicepresidente, la función no prevista por la Constitución del país,

- Contravenido las reglas de organización de las elecciones de su país, lo que fue apoyado por documentos múltiples que mostraban la trampa electoral colocación y la violación de la constitución, el presidente que no podía  presentarse más de dos veces,

- Podía verse reprochar " corrupción y enriquecimiento personal, bienes mal adquiridos ", del que hay que acordarse que la COALICIÓN CORED era parte civil en este asunto que vió al hijo OBIANG condenado a tres años con suspención y a la confiscación de todos sus bienes en FRANCIA.

- Podía verse reprochar " torturas, asesinatos de opositores, crímenes contra la humanidad ",

- Podía verse reprochar hechos de canibalismo (la propia sobrina del dictador que había denunciado estos hechos y hasta reconoció sobre youtube haber sido violada por su tío padre),

- Habría financiado un crimen de guerra, consistiendo en la financiación de una tentativa de golpe de Estado que pasaría por un ataque del MINUSCA.

Todos estos hechos han sido apoyados por abundante documentación y es evidente que esta decisión judicial de 21 páginas devuelta por la 17 cámara del Tribunal correccional el 3 de octubre de 2018 teniendo como base los numerosos documentos factuales abastecidos como pruebas en la audiencia precedente en el nuevo Palacio de justicia extremista moderno de PARÍS, está en la base de la reacción del dictador sanguinario que dirige su país de una mano ensangrentada de hierro y que está listo para todo para erradicar la oposición en su país y en el extranjero como le probó a recuperaciones múltiples.

Demostración ha sido hecha recientemente en el momento de las últimas elecciones por el hecho de que el partido presidencial obtuvo a 99 diputados y el partido C.I. solo y único de oposición un diputado. Al día siguiente de la elección, el diputado de la oposición habia sido metido en la cárcel, su partido político disuelto y los militantes que se atrevieron a manifestar su descontento fueron condenados a más de 40 años de prisión.

Obsequio en la ONU en el marco del debate general de la 73 sesión, el presidente OBIANG vino para alabar el multipardismo afirmando que en su país hay 18 partidos políticos olvidando decir que ellos todos están sin excepción reunidos a su mayoría debido al hecho de que la tortura y los asesinatos de opositores ahuyentaron desde su llegada al poder todos los demás y que hay 20 partidos políticos de la oposición que están en el exilio esperando la vuelta de la democracia en el país.

La oposición en el país siendo completamente erradicado, el poder ecuatoguineano decidió hacer lo mismo con la oposición en el exilio y, sobre todo, contra los que se llevaron parte civil en el proceso escandaloso del hijo OBIANG que se considera totalmente permitido en su país como en el extranjero.

Más grave todavía, mientras que se dice a partidario en fachada al respeto de la integridad territorial de cada Estado Miembro y a principios de no injerencia en los asuntos interiores de los Estados, he aquí que financia a mercenarios (hay más de 10.000 reclutados por él en el país) para ir a ejecutar a los opositores en el exilio, mientras que hace algunas semanas, reuniendo el conjunto del cuerpo diplomático presente en Guinea ecuatorial afirmaba su voluntad de diálogo todos los partidos políticos, sin reunir por eso la oposición en el exilio, al mismo tiempo que anunciaba una amnistía general y la liberación de todos los presos políticos, incitando a los opositores que vuelven al país sin la menor garantía de la seguridad pública, de oro esta promesa como otros no se valoró.

Así como lo dijo recientemente a la tribuna de la ONU, el Presidente OBIANG valora muchísimo el respeto de la integridad territorial de cada Estado Miembro y a principios de no injerencia en los asuntos interiores de los Estados, es en las condiciones que intentó hacer asesinar en España, en su domicilio, a German Pedro Manuel TOMO MANGUE, antiguo diputado del Partido presidencial (PDGE), salvado por el hecho de que, por equivocación, era su hermano, antiguo Embajador en China luego de Bélgica que fue apuñalado por asesinos financiados por el dictador.

Todos los que asistieron en el momento del proceso en correccional del hijo OBIANG, el ausente delante de los jueces, y cuyo testigo solo y único su defensa encontró sólo que hay que citar delante del tribunal para declarar inocente al poseedor de los bienes mal adquiridos, es gracias a los descubrimientos hechos con testimonio del mercenario Simón MANN, oraganizador de un golpe de Estado falso y fracasado y que acabó por reconocer delante del Tribunal correccional de París que trabajaba, en hecho en el Reino unido para el dictador, con el fin de vigilar a los opositores en el exilio, lo que acredita el hecho de que hay una célula en Inglaterra provista toda pieza por el dictador OBIANG para erradicar a los opositores susceptibles de molestarlo en sU poder.

Actualmente el Presidente de la COALICIÓN CORED denuncia desde su cama de hospital cuyo lugar valora secreto y su domicilio vigilado e investido por la policía, este nuevo crimen cometido por el dictador OBIANG, que espera que la policía londinense totalmente esclarezca sobre este asunto que necesariamente debe provocar una protesta del FOREIGN oficio y el cierre de la Embajada de Guinea ecuatorial en el Reino unido que es la base trasera de estas acciones criminales decididas por OBIANG..

Por otro lado, a la vista la acumulación de los hechos que concierne al conjunto de los crímenes del dictador, en Guinea ecuatorial y en el extranjero, los únicos hechos torturas contra un grupo determinado como el CORED, siendo considerado en el sentido del derecho internacional como crímenes contra la humanidad, el Presidente de la COALICIÓN CORED pide en nombre de todos los partidos y asociaciones que representa, la creación de una encuesta internacional para este sujeto con el fin de poner fin a las acciones criminales perpetradas desde varias décadas por el PresidentE.

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COMUNICADO DEL PARTIDO POLITICO UDDS, ADSCRITO EN LA CORED.

4 Octubre 2018 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

UNION PARA LA DEMOCRACIA Y EL DESARROLLO SOCIAL
SECRETARIA GENERAL
 
 
La Unión para la Democracia y el Desarrollo Social UDDS, denuncia y condena enérgicamente el secuestro en Togo de los guineoecuatorianos Francisco Micha Obama y Flugencio Obiang Esono, naturales de Meban distrito de Micomiseng y Okong Oyec del Municipio de Biyabiyan respectivamente, cuando se encontraban de visita en Togo y expresa su máxima preocupación porque pueden ser simplemente ejecutados sin ningún juicio ni amparo en Black Beach donde se encuentran actualmente torturados.
 
En efecto, los dos secuestrados se fueron a Togo hace unos días para una visita de negocios.
 
Pues estando en Togo, fueron interpelados por unos supuestos agentes que se decían ser de la policía togolesa, cuando en realidad eran agentes secretos del escuadron de la muerte del dictador guineoecuatoriano que residen desde varios años en la capital togolesa.
 
Cabe señalar que desde 1990, el dictador Teodoro Obiang Nguema, con la complicidad de algunos gobiernos de Africa Central y del Oeste tiene instalados a sus esbirros en esos diferentes países pagando a dichos gobiernos millones de petrodólares para controlar a miembros de la oposición, sea cual fuese su procedencia en el exilio o en Guinea Ecuatorial.
 
Francisco Micha Obama,  participó en la Quinta Mesa de diálogo de noviembre de 2014, donde rechazó abiertamente las propuestas del Dictador guineoecuatoriano y exigió su abandono inmediato del poder.
 
En el pasado diálogo del mes de julio 2018, Francisco Micha Obama no volvió a Malabo estimando que “nada saldrá de esta nueva negociación porque Teodoro Obiang Nguema no es serio ni quiere verdaderamente negociar con la oposición. Solo quiere lavar su imagen y lo que debemos hacer es no acudir porque asistiremos a lo mismo y perderemos el tiempo”.
 
A raíz de esta preocupadísima situación, la UDDS lanza un llamamiento a Amnistia Internacional y a la Comunidad Internacional para que intervengan urgentemente afin de evitar la ejecución de estos compatriotas.
 
La UDDS lamenta profundamente que el dictador Teodoro Obiang continue con los secuestros y asesinatos de opositores en vez de sacar conclusiones de que su tiempo ha acabado y abandonar el poder.
 
Nadie es más fuerte que el pueblo soberano.
 
A buen entendedor, pocas palabras.
 
¡Guinea Ecuatorial, todos o ninguno!
 
Por la UDDS, Aquilino Nguema Ona Nchama,
 
Secretario General.
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LA COALICIÓN CORED PIDE LA DESTITUCIÓN DEL VICEPRESIDENTE DE GUINEA ECUATORIAL

18 Septiembre 2018 , Escrito por COALICIÓN CORED Etiquetado en #COMUNICADOS.

 

 

EN EL MARCO DE LA LUCHA CONTRA LA CORRUPCIÓN, LA COALICIÓN CORED,  A LA VISTA DE LOS HECHOS ACAECIDOS EN BRASIL EN CONTRA DE TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE, EXIGIMOS AL PRESIDENTE DE LA REPÚBLICA DE GUINEA ECUATORIAL CESAR A SU HIJO DE SUS FUNCIONES DE VICEPRESIDENTE.

EN EL MISMO MOMENTO QUE SE PREPARAN LAS CEREMONIAS DEL CINCUENTENARIO ANIVERSARIO DE LA INDEPENDENCIA, LA FALTA DE MADUREZ POLÍTICA DE LA FAMILIA DEL DICTADOR OBIANG ES REVELADA GRACIAS A LOS MEDIOS DE COMUNICACIÓN SOBRE LA UTILIZACIÓN ABUSIVA DE PRERROGATIVAS EN LA UTILIZACIÓN DEL PASAPORTE DIPLOMÁTICO DETENIDO A TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE, DIRIGENTE VICIADO DE LA REPÚBLICA DE GUINEA ECUATORIAL EN SUS VIAJES PRIVADOS, LO QUE DIO LUGAR A LA REVELACIÓN DE UN ESCÁNDALO QUE SALPICA EL RÉGIMEN ACTUAL QUE ESTÁ INMERSO DESDE HACE 39 AÑOS EN LA CORRUPCIÓN, DESDE LA LLEGADA AL PODER DEL DICTADOR OBIANG NGUEMA MBASOGO.

La COALICIÓN CORED que representa 19 partidos políticos y asociaciones en el exilio, representando a más de 200.000 personas que han tenido que huir del pais para  evitar al régimen asesino desde la llegada al poder del Presidente OBIANG NGUEMA MBASOGO instalado sobre una silla inamovible sin compartir desde hace 39 años, interpela al Presidente actual sobre la necesidad de poner fin a los exacciones cometidos por su hijo, TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE,  dirigente viciado de Guinea Ecuatorial para los actos de corrupción que se descubre durante el año entero al mundo internacional.

Con relación a los acontecimientos que vienen de producirse en BRASIL y que se descubre por la prensa mundial, conviene recordar que un pasaporte diplomático es un pasaporte librado por un Estado soberano a sus diplomáticos para sus desplazamientos profesionales, así como a personas que los acompañan.

 

El titular de un pasaporte diplomático generalmente goza de la inmunidad diplomática. Ambos términos no se cubren sin embargo completamente, ya que el pasaporte diplomático es surtido por el país para el cual el diplomático trabaja mientras que la inmunidad diplomática (eventualmente) es concedida por el país de acogida, o sea por los acuerdos bilaterales o internacionales, o sea por la autorización personal de entrada en reconocimiento del papel diplomático del titular de este tipo de pasaporte (derecho a menudo materializado por un visado dicho diplomático).

En derecho internacional y solo el presidente de la república, el Ministro de Asuntos Exteriores y los embajadores gozan de una inmunidad total durante el período de su mandato. Si un poseedor de pasaporte diplomático viaja para su cuenta personal, debe presentar un pasaporte diferente.

El pasaporte diplomático es reservado para los diplomáticos en actividad oficial. Para este sujeto, nos interrogamos la fecha de nacimiento que figura sobre el pasaporte presentado publicado en la prensa que parece contener un error de fecha de nacimiento, que como cada uno el hecho permite pasar al lado de ciertos controles en los aeropuertos en los cuales son chekés el nombre y la fecha de nacimiento.

En este caso, según las declaraciones hechas por el primer secretario de la embajada de Guinea ecuatorial en Brasil, Sr. LEMINIO AKUBEN, secretario de la embajada pretendió que se trataba de un viaje privado y había declarado a propósito de TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE:

" Está en mala salud y necesita curas médicas " sin precisar cual enfermedad afecta al hijo OBIANG o el hospital en el cual buscaría un tratamiento en Brasil...

Esta confesión sobre la necesidad de ir a hacerse cuidar en el extranjero siendo portador de millones de dólares en contado nos recuerda que desde hace 50 años, por los que 39 bajo la dictadura de la familia OBIANG, no fue posible en Guinea ecuatorial de colocar un sistema sanitario válido para cuidar a la población y todavía menos sus representantes en la cumbre del Estado, lo que es inadmisible en un país un poco menos de un millón de habitantes que es el 3r país productor de petróleo de África.

La población guineana pues es informada sobre la precaridad del estado de salud del que aspira a reemplazar a su padre en la jefatura del Estado, es verdad que basta con ver sobre las redes sociales los vídeos que pone en línea sobre su vida privada, mostrando la manera en la que vive, para ver que esta vida no se parece en nada con la de alguien que pueda tener responsabilidades en el seno de un Estado aparte del hecho de ser como el hijo de su padre que es presidente y de haber sido nombrado por él como vice Presidente.

Este modo monárquico de administrar un Estado no tiene que ver nada con el que se puede admitir hoy en la República, de un representante del Estado que jamás está a la hora en sus citas a pesar del hecho de que tiene a titulo personal una colección de relojes que vale una quincena de millones grabadas se precavía de sus iniciales, y algunas les valen sus únicas más de 700.000 euros, hay allí una diferencia inadmisible entre la vida de un hombre político y la de la población.

Nos enteramos así con ocasión de este viaje privado como " el dinero embargado pertenece al Tesoro nacional y sería utilizado en otros viajes que el vicepresidente haría después de haber atravesado Brasil. " Siempre según el mismo AKUBEN, TEODORIN debería después de Brasil ir a Singapur.

Sobre mismo AKUBEN pidió el reembolso del dinero y de las joyas y declaró que el vicepresidente estaba bajo la protección del Convenio de Viena sobre las relaciones diplomáticas y no podía ser objeto de inspecciones aduaneras ordinarias.

Entonces, si se refiere a la parada devuelta por la Corte Internacional de Justicia de LA HAYA en su receta del 7 de diciembre de 2016 devuelta a petición de Guinea ecuatorial con vistas a decir que en cuanto a los procedimientos penales contra Sr. TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE, vicepresidente de la República de Guinea Ecuatorial encargado de la defensa y de la seguridad del Estado, la República francesa actuó y actúa en violación de sus obligaciones en virtud del derecho internacional, particularmente el convenio de las NacionesUniendo contra la criminalidad transnacional organizada y el derecho internacional general, la Corte Internacional de Justicia estimó (página 16 - n°50) que no existía " sobresalió facie ", de desacuerdo entre las Partes susceptible de entrar en las previsiones del convenio contra la criminalidad transnacional organizada, y pues de concernir a la interpretación o la aplicación del artículo 4 de ésta.

Desde entonces, no tiene competencia " premió facie " en virtud del párrafo 2 del artículo 35 de este instrumento para conocer la demanda de Guinea ecuatorial relativa a la inmunidad de M.TEODORO NGUEMA OBIANG. No se efectua allí pues para ella de examinar si las condiciones procesales puestas por esta disposición son reunidas "

Y para concluir sobre este capítulo que concierne a la inmunidad pretendida de TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE, la Corte Internacional de Justicia de La Haya, como órgano supremo de la ONU aporta las precisiones siguientes:

" El convenio que es el solo instrumento que Guinea ecuatorial invoca para fundar la competencia de la Corte en cuanto a la inmunidad alegada por Sr. Teodoro Nguema Obiang Mangue, emana de la conclusión arriba que la Corte no puede indicar de medidas conservatorios en cuanto a susodicha inmunidad ".

ASÍ, la JURISDICCIÓN MÁS ALTA DE LAS NACIONES UNIDAS VALIDÓ EL hecho QUE LA INMUNIDAD DIPLOMÁTICA DE TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE NACIDO SE APLICABA NO EN SUS DESPLAZAMIENTOS PRIVADOS Y COMPRAS COMPULSIVAS DE BIENES DE TODA NATURALEZA, TODO AGRAVADO POR EL RECONOCIMIENTO DEL CRIMEN DE BLANQUEO PARA LAS CUALES HA SIDO CONDENADO EN FRANCIA A UNA CONDENA CON PRÓRROGA (18 MESES), Tiene PESADO ENMENDADO Y A LA CONFISCACIÓN DE TODOS SUS BIENES (TRANSPORTAR EN COCHE E INMUEBLES).

En este sentido, BRASIL que comenzó su lucha contra la corrupción encarcelando al ex presidente de la República LUIZ INACIO LULA DA SILVA y destituyendo a la antigua presidenta federativa de la República de Brasil DILMA VANA ROUSSEFF, debe mostrar en lo sucesivo su intransigencia enfrente del origen de los fondos investidos por la familia OBIANG en BRASIL.

¿ Especialmente, a la vista las explicaciones arriesgadas abastecidas sobre la cantidad de dinero importante cogida en contado, la oposición en el exilio se interroga el destino de los fondos interceptados por la aduana brasileña porque esta vez, no se trata de financiar una escuela de samba o de preparar el matrimonio del hijo OBIANG con una brasileña o de juerguearse y si se trataba simplemente de financiar a algunos candidatos potenciales en la elección presidencial para asegurarse luego una tranquilidad fiscal y penal?

En todo caso, la cuestión es puesta a las autoridades brasileñas.

Por otro lado, la COALICIÓN CORED que toma nota de la voluntad fijada por GUINEA ECUATORIAL de luchar en lo sucesivo contra la corrupción, la demanda el Presidente OBIANG NGUEMA MBASOGO de destituir sin demora el viciado dirigente en ejercicio y de colocar una auditoría con expertos internacionales independientes para examinar el origen de los recursos financieros de TEODORO NGUEMA OBIANG MANGUE desde el origen de sus funciones como ministro hasta este día.

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