EL DICTADOR OBIANG NGUEMA SE ESCONDE EN PARIS.

La Coalición CORED, lleva días buscando la ubicación exacta del dictador Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, a fin de entregarle a mano la lista de asesinados por él en nuestro país, que asciende a mas de 310 guineanos y guineanas, pero resulta que el dictador ha dado órdenes estrictas a sus acompañantes que nadie se le acerque, muchas veces, parece que sale por la puerta de atrás, porque compañeros nuestros han llevado bastante tiempo apostados en el lugar del encuentro, Obiang no permite que se le acerca ni hormiga. El hotel que comunicaron que se hospedaba, una comisión de la Coalición CORED ha llegado en el lugar, pero el hotel está en plena reformas y ningún alma vive allí.

¿de qué se esconde el dictador?, a pesar de las mentiras de su embajador y de su responsable de los Derechos Humanos, en el sentido de que en nuestro país no hayan asesinado a nadie, entonces porque se esconden, el que huye debe; el dictador Obiang se esconde de nosotros.

Nos hemos desplazado hasta la localidad parisina de 71 VILLE D´AVRAY 92410, donde el dictador Obiang compró su primer palacete nada mas hacerse con el poder en su gran atraco a mano armada a nuestra patria, el 3 de Agosto de 1979, el palacete está vació. Nadie está dentro.

Nuestra frenética búsqueda nos llevó a la ubicación oficial de la embajada de nuestro país en territorio francés, no en la Avenida Foch., sino 29 boulevard Courcelles 75008 Paris .

Este palacete está valorado en mas de Doscientos Millones de Euros, solo la casa, el contenido es el doble de la casa, son muebles y obras de arte de un valor exorbitante, por ejemplo éste cuadro que hemos expuesto mas abajo, con un valor de 500 mil Euros.

.LA EMBAJADA DE NUESTRO PAÍS EN FRANCIA, SE ENCUENTRA EN 29 , boulevard Courcelles 75008 Paris PERO DE AQUÍ SE TRASLADARON PRECIPITADAMENTE TRAS EL DESCUBRIMIENTO DEL EXPOLIO Y ROBO DEL LADRÓN DE TEODORÍN NGUEMA OBIANG A LA AVENIDA FOCH.

EL FUTURO QUE NOS ESPERA

Me decía un joven dirigente político congoleño: "Amigo Elá, los congoleños tenemos un problema serio: mientras los demás pueblos se preparaban para el futuro, nosotros los congoleños bailábamos".
Hace poco, un sabio guineano, de estas personas que uno estaría días enteros escuchándoles, el Dr. Edú Mokuy, nos hacía, a los políticos guineanos, la siguiente pregunta: " ¿sabéis, realmente, el país que queréis gobernar?".
A veces nos reímos con el amigo Lenin Nguema, cuando, como si fuera una majadería, nos repite premonitoriamente lo de..."esto se nos ha ido de las manos ".
Está claro, al menos para mí, Obiang se porta con Guinea como esos maridos celosos y maltratadores: " o mía, o de nadie ". Y terminan matando a la mujer.
Es obvio que, cuando se quiere destruir a un pueblo, no tienes más que quemar a su juventud.
Obiang es incapaz de concebir una Guinea que no controle él bien directamente, bien a través de su hijo. Pero no para mejorarla, sino para dominarla y sacarle todo el jugo. Después de mí, el diluvio.
Bien, la historia de los Pueblos es una historia, fundamentalmente, de relevo generacional. ¿Alguien se ha parado a pensar cuántas generaciones hemos perdido en Guinea, desde que se instauró la dinastía de los Ngema?
El otro día elucubraba acerca de la Guinea que vamos a entregar a nuestras futuras generaciones. Hoy, amigos lectores, permitidme que pregunte por la juventud a la que le vamos a entregar la Guinea, esté como esté.
Me temo de que se trata de una juventud atrofiada, marchita, llena de odio, carente de honor y dignidad. Una juventud resentida, a la que se le ha obligado a idolatrar a los ladrones, a admirar a la ganga de la sociedad, a aborrecer el esfuerzo personal. Una juventud a la que se le ha enseñado a tener, atesorar, antes que saber.
Cómo enseñarle a esta juventud a amar el saber. Cómo decirla que la mejor herencia es lo que tienen en la cabeza, porque es lo que nadie les puede robar.
Cómo concienciarla de que van a heredar un país destruido. Y que la mayor destrucción no es la material, que ésta siempre tiene remedio: trabajar. La peor es la destrucción moral, espiritual, porque, para intentar remediarla, hay que echar mano de los valores que este régimen ha ido laminando, durante cuarenta y siete años: camaradería, amistad, estudio, trabajo, esfuerzo personal y colectivo, respeto a los demás, patriotismo, honor y dignidad.
La inmunda Dictadura no os ha dado ninguna oportunidad, pero no dejéis de albergar en vuestro fuero interno, porque estáis por encima de esta actuación arbitraria, la convicción de que seréis dignos herederos de una Guinea Ecuatorial democrática, desarrollada, culta y en paz.

Pour le bureau de la COALITION CORED PARIS.

Rappelant la situation actuelle de la Guinée équatoriale dont le président Obiang Nguema Mbasogo vient à la COP 21 avec l'idée de normaliser l'affaire des biens mal acquis et de légitimer sa candidature à la Présidence de la Guinée équatoriale pour un 5ème mandat, soit 37 ans de pouvoir.
Communiqué de presse de la CORED rappelant la situation actuelle de la guinée équatoriale (310 personnes assassinées par le régime du dictateur OBIANG NGUEMA MBASOGO, soit 3 fois ce qui s'est passé en FRANCE au BATACLAN).

La revue JEUNE AFRIQUE nous indique que le président Obiang Nguema Mbasogo vient à la COP 21 avec l'idée de normaliser l'affaire des biens mal acquis, en réalité tout le monde sait qu'il veut essayer de légitimer sa candidature à la Présidence de la Guinée équatoriale pour un 5ème mandat, alors qu'il est déjà depuis 37 ans de pouvoir et que la constitution limite à deux mandats l'exercice de la fonction présidentielle.

La CORED qui est l'association des opposants de la Guinée équatoriale en exil rappelle que 250.000 équato-guinéens ont fui ce régime à cause de la dictature du Président OBIANG qui pratique la torture et les assassinats de tous ceux qui peuvent lui barrer la route pour accéder ou se maintenir au pouvoir, car en s'étant programmé dans son esprit "président à vie", il pense ainsi n'avoir jamais de comptes à rendre pour les crimes qu'il a commis et continue de commettre.
Les différentes lois d'amnistie et les tables rondes avec l'opposition qu'il a prétendu mettre en place ne sont que des manœuvres qui ont été déjouées et qui sont destinées à tromper l'opinion internationale.
La Coalition CORED maintien que ce pays à érigé la corruption comme système d'enrichissement de la famille Obiang et de son clan, pendant que 80 pour cent de la population vit en dessous du seuil de pauvreté avec moins de 2 dollars par jour.
La fortune personnelle du seul président Obiang est évaluée par Forbes à 600 millions de dollars... Ce qui correspond à un gain de 50.000 dollars par jour depuis son arrivée au pouvoir.
La Coalition CORED confirme et maintient sa liste de 310 personnes assassinées depuis que le sergent Obiang devenu responsable de prison, puis en responsabilité de l'état est au pouvoir et la CORED attend avec impatience la plainte que devait déposer ce régime criminel contre cette dénonciation, car nos dossiers sont prêts et un cabinet d'avocats constitué à cet effet, la CORED entendant faire indemniser les familles des personnes assassinées ou torturées et qui restent handicapées, par le produit des saisies des biens mal acquis qui seront répartis selon les règles de fonctionnement et de bonne gestion des compagnies d'assurance.
Cette liste a pu être constituée à partir de l'appel fait sur internet - voir le site : http://www.cored.fr.

Roberto Berardi, est un chef d'entreprise qui a survécu à cet enfer, et il raconte comment il a été spolié et ruiné par le vol de son entreprise, par la famille Obiang et comment il a vécu les séances de tortures et surtout comment il a vu mourir sous ses yeux dans la prison équato-guinéenne de Bata des hommes qui étaient à ses côtés. Il a pu ainsi assister impuissant pendant les derniers 6 mois de son incarcération, dans la zone ou il était et ou il y avait 18 personnes, à la mort de 9 personnes qui étaient comme lui prisonniers dans les cellules d'OBIANG, et ce afin de lui démontrer par des tortures extrêmes, qu'il devait signer les documents d'accusation s'il ne voulait pas subir le même sort que ceux que l'on assassinait devant lui.

La torture à mort est pratiquée fréquemment en Guinée équatoriale, non seulement pour permettre au clan Obiang de se maintenir coûte que coûte au pouvoir, mais aussi pour tenter de dissimuler les escroqueries de la famille et notamment de Teodorin OBIANG.

Nous invitons la presse à écouter le témoignage de Roberto Berardi qui raconte comment le fils Obiang qui était son associé dans l'entreprise qu'il avait fondé, à créé des comptes parallèles dans sa société et a acheté à son insu, dans une vente aux enchères aux USA, avec de faux documents et l'argent de son entreprise de BTP, la collection de vêtements de Michael Jackson, y compris le fameux gant, qu'il a fait ensuite exposer en Guinée équatoriale en prétendant que c'était ses liens avec la famille du défunt Michael Jackson qui lui avaient permis d'obtenir cette collection mythique vestimentaire, raison pour laquelle le fils du président aidé en cela par la famille Obiang a fait incarcérer Roberto Berardi pour dissimuler son escroquerie et ce afin que nul ne sache la vérité.
L’homme d’affaires Roberto Berardi a été proche du 2ème Vice-président de la Guinée équatoriale, Teodorin Nguema Obiang Mangue, dont il fut l’associé durant plusieurs années à la tête d’une entreprise de BTP, dénommée Eloba Construction SA, avant qu’il ne le jette en prison. Officiellement pour «malversations », la véritable raison était que Roberto Berardi envisageait de témoigner contre le fils du Chef de l’Etat, poursuivi aux États-Unis dans l’affaire des biens mal-acquis. Libéré à la faveur d’une mobilisation internationale, il a raconté à l'occasion de la conférence de presse de la CORED qui vient d'avoir lieu à Paris son calvaire.
voir le lien : https://www.youtube.com/watch?v=9JxBn3Fxl-c
Cet homme de 49 ans, au visage émacié et à l’allure soignée, ne veut pas passer l’éponge sur les violences qu’il a subies à la prison de Bata où il a été détenu pendant 920 jours, dans des conditions particulièrement difficiles.

Son témoignage vient alimenter l’affaire des biens mal acquis qui vise la famille présidentielle de la Guinée Équatoriale. Car si l’on savait que le fantasque Teodorin brassait beaucoup d’argent et menait grand train, ses méthodes de collecte des fonds n’étaient pas toujours clairement cernées. Roberto Berardi raconte que les entrepreneurs étrangers que la manne pétrolière attire à Malabo et ses environs, sont systématiquement rackettés et servent de prête-noms, parfois à leur insu à Teodorin Obiang, pour faire sortir l’argent du pays.
En ce qui concerne les 310 assassinats, devant les démentis sans preuve du pouvoir Obiang, et les gesticulations de son ministre des droits de l'homme, M. Alfonso Nsue Mokuy qui déclare "nous n'avons rien à cacher", mais qui n'a pas su donner le nombre de prisonniers politiques dans son pays, appuyé dans ses divagations par l'ambassadeur de la Guinée équatoriale Oyono Ndong Mifumu lors de sa ridicule et inutile conférence de presse, il n'a apporté aucun élément probant, ni aucune preuve de ce qu'il affirmait et l'on attend toujours les noms des trois personnes qui sont sur la liste et qui seraient encore vivantes...

voir à ce sujet le site : https://www.youtube.com/watch?v=WAGXaDNWbC8
La mort rôde autour du clan OBIANG pour son maintien au pouvoir, et la preuve nous a été& apportée par Roberto Berardi, l’entrepreneur italien spolié et torturé qui a assisté à des assassinats d' équato-guinéens en prison et qui a apporté son témoignage, preuves à l'appui, le 12 octobre dernier, en prenant part à la conférence de presse organisée à Paris par les dirigeants de la Coalition pour la Restauration d’un État démocratique en Guinée Équatoriale (CORED) et les principaux partis d'opposition en exil, pour dénoncer la situation en matière de droits de l'homme,

voir à ce sujet le site : https://www.youtube.com/watch?v=ePNahZsh-K8
Lors de la visite en FRANCE de Roberto Berardi, on a découvert qu'il était une victime collatérale du volet américain de l’affaire des biens mal-acquis qui ont visé Teodorin Obiang, en France et aux États-Unis.
Son partenariat avec le Vice-président de la Guinée équatoriale a été définitivement rompu le 15 janvier 2013, lorsqu’il a été interpellé par les forces de sécurité du président. Officiellement on l’accuse de « fraude » et de « vol de biens », en lien avec la gestion d’Eloba Construction SA. Il a expliqué qu’il doit en réalité ses ennuis à son refus de couvrir Teodorin Obiang, poursuivi aux États-Unis pour détournement et blanchiment de fonds. A son insu, le deuxième Vice président équato-guinéen a fabriqué plusieurs faux papiers à la fois au nom d’Eloba Construction et en au nom de Roberto Berardi, pour transférer d’importantes sommes d’argent vers les États-Unis. Mais ses achats de biens luxueux et ses dépenses somptuaires ont fini par attirer l’attention des autorités financières américaines.
Au départ, les enquêtes américaines visaient tout autant Roberto que Teodorin Obiang, puisque son nom apparaissait dans plusieurs acquisitions. Mais il a réussi documents à l'appui à prouver la fraude sur son identité, passant du statut de coaccusé à celui de témoin. C’est dans ce contexte, que Teodorin Obiang l’a fait arrêter, pour l’empêcher de témoigner contre lui devant la justice américaine. Quelques mois plus tard, à la suite d’un procès expéditif au cours duquel il a pu voir à l'audience le président du tribunal s'entretenir directement par téléphone avec Teodorin Obiang, Roberto Berardi qui n'a jamais pu voir un avocat, a été condamné finalement à deux ans et quatre mois de prison.
On sait ensuite que Teodorin a fait étouffer l'affaire en versant 30 millions de dollars à la justice américaine, s'il n'avait rien à se reprocher, ou s'il avait été reconnu innocent, il n'aurait rien eu à verser, or sa fortune aux USA est évaluée à 300 millions de dollars par les juges américains (BBC Afrique).

C'est grâce à l'ACAT, (Action Catholique contre Ta torture et la peine de mort), une ONG qui l’a soutenu pendant sa détention, que Roberto Berardi a pu sortir de ce cauchemar, car il a subi de multiples sévices en prison dont il porte encore les traces. « Il a été frappé et torturé d’abord au commissariat de Bata, puis à la prison de Bata. En janvier 2014, il a été maintenu à terre par des gardiens et flagellé. Roberto Berardi était régulièrement enfermé à l’isolement pendant de longues périodes dans des cellules où on tient seulement debout ou accroupi..."
Dans ces conditions, l'état de santé de oberto Berardi s’est rapidement dégradé. Lors d’un déplacement à Bruxelles en avril 2014, le président Teodoro Obiang Nguema a été interpellé sur son cas. Il a alors promis qu’il le gracierait pour «raison humanitaire ». Ce qu’il n'a jamais fait, un mensonge de plus à l'actif de ce président qui dirige son pays d'une main de fer et qui proclame l'amnistie pour faire revenir les opposants pour les assigner ensuite à résidence, les torturer ou les faire assassiner comme ce fut le cas récemment encore pour Bonifacio Nguema Esono Nchama, un opposant qui était depuis 27 ans en exil, attiré au pays par la première dame Constancia Mangue Obiang Nguema avec l'assurance de sa protection particulière on a retrouvé cet opposant historique assassiné quinze jours après... et dont la CORED possède un témoignage sonore dans lequel ses amis lui demandent de ne pas partir au pays, car un piège lui est tendu par le clan OBIANG.

voir le site : https://www.youtube.com/watch?v=GV8UJobsKog

En guinée-équatoriale, il n'y a pas d'autopsie, on enterre les gens à la va-vite, les autopsies sont officiellement proscrites dans le pays... sauf pour dépecer les cadavres et les prélever de certains membres pour des motifs qui échappent à la raison.

Lorsque Roberto Berardi a été libéré le 9 juillet dernier, il avait déjà totalement purgé sa peine et avait même passé près de deux mois supplémentaires en prison, voila ce qu'on appelle en guinée équatoriale la grâce présidentielle, autrement dit, c'est comme les soit disant aministies...

Au moment où le président Obiang Nguema Mbasogo vient en France, pays des droits de l'homme pour la COP21, ces faits doivent être rappelés et dénoncés, raison pour laquelle la CORED vous adresse ce communiqué.

AFRIQUE MEDIA TV. Panafricanisme comme fond de commerce

En effet, Justin Tagou, qui n’est pas un enfant de cœur, ne voudrait pas que ses financiers sachent la misère qu’il crée à ses journalistes et ses différents panélistes. Payés à hauteur de 1000 euros par mois chacun par ses financiers de l’ombre, selon une information de source concordante, le patron de Afrique Média ne verserait même pas le quart à un des journalistes et panélistes. Même le peu qu’il décide de leur donné, n’est pas fait de manière régulière. Tagou aurait donc fait du panafricanisme un fond de commerce dont il est le seul à ne pas croire. La preuve, il n’a aucun respect des intelligences qui apporte leur expertise sur les différents plateaux de sa télévision. Où parfois, on mélange les torchons et les serpillières sur un même plateau dans le but erroné de noyer l’indispensabilité des panélistes à l’expertise avérée. Sauf qu’un background ne s’improvise pas, il se construit dans la durée. Et, ça ressent dès la première phrase émise. Au point où de nombreux téléspectateurs s’interrogent parfois sur les critères de choix de cette chaine qui impose certains débateurs sans épaisseur dont les analyses font souvent dans tous les sens. La scène qui s’est passé à Bata il ya deux semaines, vient ainsi démontrer le degré de cynisme de cet entrepreneur de média à l’endroit de ses journalistes dont beaucoup, rentrés au pays ne sont pas encore remis de leurs blessures. Un cynisme entretenu dans son comportement au quotidien à l’endroit de ses employés et collaborateurs. Pour ne citer que ce cas retenu au cours d’une conversation filtrée, quand un de ses panélistes lui fait la remarque sur la mauvaise image véhiculée par la chaîne en laissant son présentateur vedette en occurrence Mouhamed Bachir rouler en moto. Tagou pique une colère noire d’entendre quelqu’un prendre la défense entrant dans le cadre du confort et de l’amélioration des conditions de travail de son employé. Mais croit-t-il vraiment aux idéaux prônés par sa chaîne ? On s’en doute. Le panafricanisme s’est aussi de l’humanisme comme il a coutume de nous le rabâcher. http://http://www.camer.be/47489/11:1/guinee-equatoriale-afrique-media-justin-tagou-abandonne-ses-journalistes-accidentes-en-guinee

NO ES LA PRIMERA VEZ, OBIANG Y SU FAMILIA HAN CONVERTIDO A GUINEA ECUATORIAL EN UN ESTADO CLEOPTOCRÁTA, MUCHAS EMPRESAS ESPAÑOLAS HAN SIDO ROBADAS POR DICHA MALDITA FAMILIA, POR EJEMPLO: Eugenio Pordimingo, "COMPAÑIA DE PRODUCTOS TROPICALES", Bruno Berreta, ETC. ETC.

TORTURE EN GUINÉE ÉQUATORIALE.

Il est fréquent que les garanties d'un procès équitable ne sont pas respectées en Guinée équatoriale, et que les détenus souffrent de mauvais traitements. Beaucoup de gens reste détenus indéfiniment, une manière de clandestins, sans que de savoir quelles sont les accusations pesant contre elle. Plusieurs avocats et autres personnes qui ont visité des prisons et des centres de détention indiquent qui continuent à prendre la place de graves abus, y compris les passages à tabac de détenus qui constituent la torture.

« Il est scandaleux que le président Obiang sont remplies avec tapis rouge à Washington et dans le monde en Guinée équatoriale, qui sont perçues comme opposants sont envoyés en prison pour être fouetté. »

Malgré les bêtises et les mensonges qui juste avaient été placés en France, M. MIGUEL OYONO NDONG MIFUMU et ALFONSO NSUE MOKUY, deux dinosaures du régime satanique d'Obiang Nguema Mbasogo, essayant de justifier et de nier que notre pays a été sans enlèvements, de disparitions ou de meurtres. Alfonso Nsue Mokuy est allée trop loin d'admettre que la torture est éradiquée en Guinée équatoriale.

En tant que citoyens de la République de Guinée équatoriale, nous exigeons d'Alfonso Nsue Mokuy, en sa qualité de chef des droits de l'homme dans notre pays, qui nous clarifier les extrémités de la torture d'une fille de 19 an, dans les unités militaires du Baney, AISOL BUIYABAN BICHUA, elle a été arrêtée en compagnie de sa soeur, un autre mineur de 14 ans, URI. Et torturées, dont la photo nous afficher. Et que les militaires impliqués, sont appliquées conformément au droit

Por Francisco ELA ABEME.

Otro mercenario felón, escudado valientemente en el anonimato y escribiendo bajo las órdenes y al dictado de la Tiranía, trata de ponernos tibios al Profesor Okenve y a mí persona.
Escribe su libelo en francés macarrónico, con acento africano, porque sabe que, si escribiera en castellano, se descubriría. Pues no sabe, y utiliza unos modismos característicos, que le son propios.

Me atribuye una edad, añadiéndome cuatro años, con lo que me hace mayor que su "Massa"; añade que yo salí de Guinea entre 1966 y 1968...para venir a estudiar derecho. En consecuencia, según el mercenario, soy un emigrante de los tiempos de Macías. ¡Con lo fácil que es informarse ante de ponerse a escribir!.

En el año 60, yo ya me inicié en la lucha política. Nunca le vi a su fundador. En el año 68 estaba haciendo campaña por Atanasio Ndong Miyone. Aguanté, haciendo equilibrios sobre la cuerda floja, hasta el 11 de septiembre de 1971, fecha en que, a bordo del " Ciudad de Pamplona", abandoné mi querida Guinea Ecuatorial, para refugiarme en España.

Regresé a Guinea en el año 1981. Estuve en Guinea todo el mes de abril de dicho año. Después de ver lo que vi, juré no volver más a Guinea mientras mandara Obiang.
Bien. Todo esto, al parecer del plumífero, ya me inválida para opinar sobre Obiang y su forma de entender el poder, porque ya he perdido el contacto con la realidad.
O sea, lo que me cuenta mi familia, mis amigos y seguidores no forma parte de la realidad guineana. Todo va sobre ruedas.

Me acusa de que no se sabe de qué vivo, luego incurre en contradicción al afirmar que soy bebedor del buen vino español, y que defendí a un traficante de drogas español... Luego, soy abogado penalista... Y desde hace treinta y cinco años, añado yo.
Así va escribiendo chorradas hasta quedarse a gusto. Supongo que su amo le habrá pagado bien el "artículo". ¡Qué pena!.

Ya les he tranquilizado a mis compañeros. Nada ni nadie me hará abdicar de mis obligaciones para con Guinea Ecuatorial. No ofende quien quiere, sino quien puede... Y si ladran, amigo Sancho, es que cabalgamos.

Lo de Obiang y su régimen es pura pena. No se atisba un mínimo de inteligencia por ningún lado. El propio fundador, desposeído de su dignidad de jefe de estado, ordena cortar los tendones a los ladrones, supongo que empezando por sus hijos... Los ministros enviando " un señal" de analfabetos funcionales a los que sólo quieren sobrevivir.

Siempre he dicho, si en lugar de serrín hubiese cacumen; si en lugar de vulgar jactancia hubiese un mínimo de seriedad y dignidad, no me importaría mantener un debate político serio, ante el Pueblo guineano, con el régimen y sus turiferarios.
Obiang ha hecho de Guinea un país peculiar: la juventud se atrofia, los mayores renuncian, las mujeres se envilecen, los hombres sobreviven, los funcionarios sisan al Pueblo, el núcleo se embosta robando a manos llenas. Mientras tanto, la sociedad se va volviendo violenta. Dentro de poco, la gente estará muriendo en Guinea sin saber quién la mata ni porqué.

En estos precisos momentos, la Coalición CORED, estamos trabajando y trabajando de verdad, nuestro trabajo no se limita a ponerse a escribir por las redes sociales, a soltar sandeces despues de tragar unas cuantas botellas de CASTEL. Hace tiempo que se produjo una excision dentro de la Coalición CORED, el sujeto que se hace llamar doctor Mombé, sabe lo que pasó en la cabeza de su "executive" cuando tomó la decisión de expulsar a sus compañeros, ¿cuantas veces señor Mba Mombé le pidió porfavor a Raimundo, a que no se vuelva loco?, pues me parece que el asunto de zanjó, vosotros a vuestro camino y nosoros a nuestra bola, nuestra pregunta es, ¿porque señor Mba Mombe no te vas a la cama despues de emboracharse?, dejanos en paz, que tenemos mucho trabajo.

En el enlace que hemos pegado mas abajo, refleja cómo el embajador de Guinea Ecuatorial señor MIGUEL OYONO NDONG MIFUMU y Raimundo Ela Nsang nos hacen la misma acusación, entonce nuestra pregunta si Raimundo y Miguel Oyono forman el mismo equipo, la embajada de Guinea quiere conocer cual es nuestra residencia en París, y Raimundo nos acusa de que no podemos acusar a Obiang Nguema en los tribunales de Paris porque no residimos en Paris, la trampa consiste a que desvelemos cual es el arrondissement que vivimos, para que Obiang Nguema envie a sus matones y acabar con nosotros.

Segun Raimundo Ela Nsang, la unica oposición creible en nuestro pais es solo él, ha acusado a CPDS y a la FOD de legitimar a Obiang, Severo Moto, su PP son nada, la Coalición CORED son expulsados y por lo tanto no tienen derecho a la politica en Guinea Ecuatorial, en definitiva, el espectro politico nacional no sirve, el verdadero opositor y lider es RAIMUNDO ELA NZANG.

Cuando empezó la crisis de la excisión de la Coalición CORED, Samuel Mba Mombe dijo a Raimundo, que los errores politicos se pagan muy carro, y eso os lo repetimos ahora; en politica no se puede ser tan narcisistas, vivimos en Europa no solo por huir del dictador Obiang, deberiamos aprovechar esta huida para aprender, porque las sociedades por las que vivimos son un aprendisaje, estamos viendo cómo Francia está aceptando una alianza con Al- Assad para luchar contra el estado islamico, existe posibles movimientos de alianzas entre Israel con Arabia Saudí, eternos enemigos contra Irán; en España, hemos vivido cómo aquel que hace poco llamaba a PODEMOS Y CIUDADANS populistas y negaron hablar con ellos, ahora los llamaba a formar un solo bloque para hacer frente a la independencia de Catalunya, eso queremos hacer ver que, en politica, quien hoy es tu enemigo, mañana podrá ser tu mejor aliado, ésta politica de confrontación no la queremos, nuestro unico problema ahora es Obiang Nguema Mbasogo y nadie mas, nuestro trabajo está concentrado para acabar con la dictadura en nuestro país, pero resulta que Raimundo, Mba Mombe y Carlos están luchando contra la Coalición CORED. ESTA SIGUIENTE EPÍSTOLA ES LA QUE NOS HA DEDICADO EL DOCTOR, se ha olvidado que acababa de decir que habian advertido a Emely de la clase de personas con las que se quedaba, y tan pronto cambia el mensaje, ahora una de las que acusaban a Raimundo se ha ido a Guinea, lo que significa que todos nosotros iremos .....

EPÍSTOLA DE MBA MOBÉ...

"Mesi Abia, a los guineanos nos gusta juzgar a la ligera a veces sin hacer un esfuerzo mínimo para dotarse de suficiente información para poder emitir juicios sanos y con absoluto conocimiento de los hechos. Vamos a ver: la CORED se crea justamente cuando toda la oposición guineana tanto interna como externa ya se encontraba en stand bay razón por la que se vió la reacción del gobierno cuando le exigimos su dimisión para dar paso a un proceso de transición creíble y no el "ensayo democrático a la ecuato-R-guineana. Como bien dice Bony Nse Nguema, no es malo integrar a la gente en la lucha que llevamos y es lo que nosotros hicimos hasta que unos empezaron a crear confusión dentro de la Coalición apenas comenzado la andadura. Esos comportamientos fueron inmediatmente diagnosticados como complejos e incapacidad de algunos de responder a las exigencias y asumir las responsabilidades que les iban confiando y al final escogieron el camino más fácil el de las acusaciones falsas y sin fundamento contra el entonces recién elegido Secretario Ejecutivo de la CORED, Raimundo Ela Nsang, acusaciones que como decimos no tenían base ya no digamos probables. Hicimos todo lo posible para calmar los ánimos pero la suerte ya estaba echada. Empezaron las agitaciones. Algunos de esa gente me llamaron para proponerme el puesto de Raimundo al igual que lo hacían paralelamente a Francisco Ela Abeme pero os dos rechazamos la oferta e incluso fui invitado después a Madrid garantizándome billete hotel incluido en su reunión donde Emily Nachama Emely Nchama Jahr fue elegida Secretaria General de esa CORED de los expulsados y que ahora ya es para ellos "una bicha" según Ntutumu Mabale Andém. Las acusaciones vertidas contra Raimundo fueron graves hasta Radio Diario Rombe Rombe llegó incluso publicar un artículo en el que se decía que Raimundo tenía un sueldo de 3000 € al mes pagados por el Embajador del dictador en la FAO y que era espía del régimen porque según ellos, Raimundo al ser del mismo pueblo o tribu de los Edjo, automáticamente trabajaba para el régimen. Es más, le acusaron en dos ocasiones de haberse entrevistado con la Constancia y con el Ministro Clemente en Suiza y Paris respectivamente cuando no podía salir de Francia en aquel entonces porque su petición de asilo no había sido todavia aceptada. Esta es la situación que se creó y que fue el motivo por el que fueron excluidos de la CORED. Mientras Rai sigue en la oposición y liderando un proyecto político a favor de la democracia en Guinea, una de los que le acusaban de espia y que para muchos era la Dama de Hierro o de Acero, no hace falta que os diga dónde está ahora. La CORED hizo bien de excluir a esa gente del proyecto y los hechos posteriores nos están dando la razón."

NADIE MÍNIMAMENTE EN SUS CAPACIDADES MENTALES, PUEDE DAR CRÉDITO A LO QUE ESTAMOS ESCUCHANDO Y VIENDO EN ÉSTE VÍDEO. UN PRESIDENTE DE LA REPÚBLICA INCITANDO A CORTAR TENDONES A LADRONES.

PARECE SER QUE LA SOCIEDAD GUINEANA ESTÁ AFECTADA DE UNA DEMENCIA COLECTIVA, EN EL MISMO VÍDEO, OBSERVAMOS AL INDIVIDUO QUE DICEN ES EL "DEFENSOR DEL PUEBLO" APLAUDIENDO A SANDECES QUE SUELTA EL LOCO PRESIDENTE.

¿QUÉ PAPEL DEBERÍA JUGAR LA POLICÍA EN GUINEA ECUATORIAL AHORA?, ¿PARA QUÉ TENEMOS EL PODER JUDICIAL?.

SEÑORES Y SEÑORAS, EL PRESIDENTE OBIANG NGUEMA SE HA VUELTO LOCO, HAY QUE HACER ALGO PARA NO CONTAGIAR A TODO UN PUEBLO DE ESA LOCURA COLECTIVA QUE VEMOS QUE YA ESTÁ PADECIENDO CASI TODOS LOS MILITANTES DEL P.D.G.E.

OBIANG NGUEMA MBASOGO, ALGUIEN DEBE RECORDARTE QUE, SI EN OTROS LUGARES, QUEMAN, MUTILAN O MATAN A LOS DELINCUENTES, ESTAS COSAS LAS COMETEN EL POPULACHO Y QUE CUANDO LLEGA LA POLICÍA, QUE SIEMPRE LLEGA TARDE, SUELEN DETENER A LOS AUTORES DE DICHAS FECHORÍAS Y TODO AQUEL QUE HA PARTICIPADO EN EL LINCHAMIENTO, PERO SI LA POLICÍA LLEGA A TIEMPO, SUELE EVITAR ESTE TIPO DE COSAS, PORQUE LA POLICÍA TIENE LA MISIÓN DE MANTENER EL ORDEN, PREVENIR EL DELITO Y PERSEGUIR A LOS DELINCUENTES Y EN NINGÚN MOMENTO, NI EN BIRMANIA, PARA DAR UN EJEMPLO, UN PRESIDENTE A INCITADO AL LINCHAMIENTO, LO QUE SIGNIFICA QUE OBIANG NGUEMA, EL PRESIDENTE DE GUINEA HA PERDIDO EL NORTE, LAS AUTORIDADES QUE LE APLAUDEN, SON TAN LOCOS COMO ÉL.