Overblog
Edit post Seguir este blog Administration + Create my blog
COALICIÓN CORED

RÉPONSE À L'ARTICLE DE LAOTRAVOZ

3 Mayo 2019 , Escrito por COALICIÓN CORED

Les dictatures ont un point commun c'est qu'elle voient des complots partout... et ceux qui la servent ont le sentiment qu'ils peuvent bénéficier de l'impunité. Erreur fatale qu'ils regardent ce qui se passe en Afrique et ailleurs, le peuple finit toujours par avoir raison.
 
Les balivernes dont LAOTRAVOZ parle ce sont les siennes, qui sont faites de haine et de pensées malsaines et de fausses informations qui sont destinées à déverser de l'encens sur la dictature pour en cacher tous les méfaits avec un manque d'objectivité totale ces militants s'agitent dans un bocal dans lequel ils tournent en rond en ayant toujours les mêmes arguments.
Les faits sont là, le régime d'OBIANG ne pourra pas continuer éternellement à faire ce qu'il a fait depuis 40 ans, il suffit de regarder la télévision, nous voulons parler de celle des autres pays, celles de la guinée équatoriale autrement dit celle du dictateur et celle de son fils TEODORIN  ne donnant qu'une vue partisane du monde et n'ont pas compris que la jeunesse a besoin d'autre chose que d'entendre 100 fois par jour le nom d'OBIANG alors que ces vieilles canailles qui continuent à s'enrichir au détriment du peuple qui n'a toujours pas le droit de bénéficier de l'école gratuite pourtant garantie par la Loi fondamentale qu'OBIANG a passé son temps à violer notamment en se présentant plus de deux fois.
 
Le cahos, c'est OBIANG qui l'a installé avec des collaborateurs qui mènent la pays à sa ruine sur le plan économique et social avec des pseudo journalistes qui passent leur temps à cacher la vérité, il suffit de voir le classement de la guinée équatoriale dans tous les domaines... elle est toujours derrière et c'est bien normal, quand on voit le nombre de barils de pétrole produit chaque jour entre 300 et 400.000 barils de pétrole par jour, ce qui ferait que tous les 2 jours 1/2, puisqu'il y a un million d'habitant  chaque équato guinéen - qu'il s'agisse d'hommes, de femmes ou d'enfants devrait avoir le bénéfice économique d'un baril de pétrole par personne.
 
Or le montant du baril est de 60 dollars, ce qui fait que chaque jour, chaque équato-guinéen devrait pouvoir bénéficier rien qu'avec la rente du pétrole de plus de 20 dollars par jour et ce sans même avoir à travailler... auquel il faudrait ajouter les  recettes du gaz dont personne n'arrive à savoir les quantités journalières exportées.
 
Tout cela pour dire et s'étonner qu'aujoud'hui 80 pour cent de la population vit avec moins de 2 dollars par jour en raison de la corruption qui règne dans le pays et de ceux qui s'enrichissent sans partage.
 
Combien de temps cette absence de répartition des richesses du pays va durer ?
Combien de temps le dictateur pourra prétendre être le PDG de la compagnie pétrolière nationale GEPETROL en plus de son activité présidentielle alors qu'il a déjà casé son fils ministre du pétrole pour verrouiller les richesses pétrolières du pays afin qu'elles ne servent qu'à construire des dysneylands administratifs et des palais présidentiels ou des pavillons pour ses hôtes qui sont reçus comme des rois, pendant que le peuple vit dans des bidonvilles bien cachés de la vue des visiteurs que l'on ne découvre que lorsqu'il y a des incendies...
 
Il ne sert à rien à LAOTRAVOZ de nier la torture qui est un crime contre l'humanité, car la torture existe et continue de plus belle dans les prisons équato-guinenne, et pour preuve en ce qui concerne les prisonniers politiques torturés on a entendu dénoncer la torture de la bouche même d'un ambassadeur et d'un général emprisonné qui sont venus nous raconter les tortures qu'ils ont subies devant le tribunal de BATA et qui ont été filmées qui dit mieux... il est vrai que cela n'est pas prêt de se reproduire, le ministre de la désinformation ayant reçu des coups de règle sur les doigts pour avoir laissé passer ce genre de déclaration télévisée, mais de toute façon tout cela a été entendu dans la salle d'audience devant des observateurs qui ont rapporté ces faits et ce n'est pas les balivernes de LAOTRAVOZ qui est aux ordres du pouvoir qui pourront nous prouver le contraire, même en agitant la théorie du complot et même si demain après avoir subi de nouvelles tortures ce même ambassadeur et ce même général viennent affirmer le contraire. La dénonciation de la torture qui est un crime contre l'humanité a été faite devant les magistrats d'un tribunal sans qu'ils aient à sourciller, car ils sont complices de ce crime contre l'humanité en essayant de le dissimuler.
 
Certes avec l'habilité d'OBIANG, de sa famille et de son clan aidé en cela par son ministre de la désinformation et le directeur de la presse présidentielle, on essaye d'imaginer des complots un peu partout  dont le dernier en date avec l'ambassadeur d'Espagne...en faisant semblant d'ignorer que le mécontentement est généralisé et ce n'est pas en organisant des cérémonies avec des distributions de récompenses destinées à flatter le dictateur et son épouse le jour de la fête du travail en le sacrant meilleur travail du pays ainsi que les membres de son clan que l'on arrivera à mettre en place le retour des investisseurs, le développement du tourisme pour lequel l'image de la guinée équatoriale n'arrivera pas à s'imposer tant que règnera un régime de terreur qui emprisonne un jour les militants du parti d'opposition, un autre jour les militants du parti présidentiel, un jour des ambassadeurs, un autre jour des militaires, et bien évidemment des gens qui n'ont rien à voir avec toutes ces histoires et qui se trouvaient là par hasard.
 
En organisant le kidnapping des opposants OBIANG a cru qu'il allait installer la confiance dans le pays alors que cela fait fuir tous ceux qui auraient eu l'idée de venir s'aventurer en guinée équatoriale, car si ce régime est en mesure d'organiser le kidnapping de réfugiés politiques à l'étranger, quelle garantie peut-on donner à des personnes ou à des touristes qui auraient l'idée de venir...
 
C'est la raison pour laquelle l'absence de démocratie, de justice et de paix qui ne repose que sur la terreur et l'éradication de toute critique et encore plus de l'opposition dans le pays ou en exil ne mènera à rien tant qu'un véritable régime démocratique ne sera pas mis en place dans notre pays.
 
 
///////////////////////: TISSUS DE SOTTISES DE LAOTRAVOZ /////////////////
 
La Cored et ses alliés de pacotille ne savent plus à quel saint se vouer . Ils viennent de démontrer une fois de plus,en multipliant les rencontres, qu’ils ne constituent qu’une coquille vide. Cette concertation qui a eu lieu à Paris le 24 avril dernier pour mettre en marche des plans de déstabilisation rocambolesque, avec les mêmes accusations, sans fournir un seul élément pour corroborer leurs propos dénote d’une instabilité mentale de tous ces vautours en politique. Le chef de file Dominique Calace de Ferluc qui est à la manœuvre, a pour mission de faire plonger la Guinée Équatoriale dans un chaos total avec la complicité des membres de la Cored et leurs alliés. C’est cet individu qui rédige avec des pseudonymes variés des articles incendiaires et mensongers sur la Guinée équatoriale,alors que son pays traverse une crise sociale jamais égalée.

De quelle mauvaise gouvernance font-ils allusion? Si c’est de la Guinée Équatoriale, on comprend aisément qu’ils font dans la mauvaise foi. Pour un pays qui constitue aujourd’hui un modèle de développement durable pour de nombreux pays Africains. Une référence et une fierté pour tous ceux qui s’y rendent. Par contre, l’instabilité économique de nombreux pays Européens reste sous silence alors qu’ils ont atteint la ligne rouge et c’est sur la Guinée Équatoriale qu’on veut casser du sucre dans le dos. Dominique Calace finira par répondre de ses actes avec tous ces compatriotes qui s’allient à ce monstre froid.

De plus, les observateurs avertis sont habitués aux balivernes débitées par cette poignée de compatriotes complètement en déphasage avec la réalité sans jamais apporter des preuves à leurs affirmations et bien d’autres extrapolations des faits. Que ce soit pour la violation des droits de l’homme, l’existence des prisonniers politiques torturés , ce sont des phrases toutes faites apprises par cœur, comme des perroquets qui font du mimétisme.

Ils avancent des chiffres comme dans une loterie en parlant de 1000 prisonniers en souffrance, et de 250.000 exilés, sans aucun document d’appui. Pour tenter de se donner de la consistance ils mettent en place des associations fantômes en y insérant des noms de plusieurs centaines de personnes décédées. Pour des personnes qui prétendent avoir une vingtaine d’associations, comment expliquer cette énième réunion secrète à paris ? Cela montre que nous avons affaire à des imposteurs. Depuis 2015 ils parlent de 3000 assassinats perpétrés par le régime en place. Sur une population d’un peu plus d’un million d’habitants, ces décès ne peuvent passer inaperçus . Ce sont des arnaqueurs qui veulent trouver comme moyen de sortie actuellement un dialogue tardif, alors qu’il y’a plusieurs mois ils avaient rejeté cette proposition. Après l’heure ce n’est pas l’heure . comme ont dit l’heure c’est l’heure ! Les Equato- Guinéens sont passés à autre chose, et renouvellent une confiance sans faille à l’équipe gouvernementale.

Quelle peut être aujourd’hui la crédibilité d’un dialogue organisé par une quinzaine d’individus sans aucune légitimité ? En tout cas ça sent le roussi ! Échec et math ! Les observateurs avertis attendent toujours ces fameuses preuves après des accusations gravissimes contre son excellence Obiang Nguema Mbasogo et son mode de gouvernance ! Ils ne détiennent absolument rien! D’où ces agitations à n’en plus finir.

Pamela Abeso
 
 
 
////////////////////////////////////////
Guinée Equatoriale : Les revendications de l’opposition depuis Paris
Par Chef Aby | Africain.info | vendredi 26 avril 2019
 

Un groupe de partis politiques et associations de l’opposition équato-guinéens s’est réuni à Paris hier 24 avril, pour dénoncer la mal gouvernance de leur président de la république Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, le respect de la constitution, l’organisation d’élections libres et transparentes pour assurer l’alternance au pouvoir, l’abolition de la peine de mort en Guinée Equatoriale, entre autres.

Ce groupe baptisé CORED, constitué de 20 partis politiques et associations en exil, avec quelques poids lourds comme le Parti UDDS, l’Union populaire (U.P.) et le MAIB ; demande l’organisation d’une table ronde pour mettre en place un véritable régime démocratique en guinée équatoriale.
Selon les résolutions de leurs travaux, "...Afin de pouvoir rejoindre la communauté Lusophone, (CPLP), le président Obiang Nguema Mbasogo a été mis dans l’obligation de renoncer à l’application de la peine de mort. Il tente aujourd’hui une course contre la montre pour faire juger dans l’urgence des supposés participants à une action terroriste en décembre 2017 qu’il entend faire condamner à mort, avant de faire prendre la décision concernant la suppression de la peine capitale par le Parlement".
Il faut toute fois rappeler qu’officiellement, les derniers condamnés à mort en Guinée Equatoriale ont été exécutés par fusillade en 2017, la CORED nous informe qu’entre temps la peine de mort continue d’être prononcée d’une façon subtile et les condamnés fusillés, que depuis l’arrivée au pouvoir du président actuel, plus de 310 personnes ont été assassinées, pour avoir dénoncé les turpitudes du régime du président Obiang et ce malgré toutes les dénonciations des organisations de locales des droits de l’homme et d’Amnistie Internationale.

Parodie de multipartisme introduit en 1991
Les opposants équato-guinéens dénoncent la réélection récente du président Obiang Nguema en violation de la constitution du pays qui ne permet pas qu’il se présente plus de deux fois. La contestation populaire a été farouchement étouffée, provoquant le départ en exil dans les pays voisins et en Europe, d’environ 250.000 personnes. Selon la CORED, le pays compte plus de 1000 prisonniers politiques ; Le code électoral scélérat qui a été mis en place au mépris de ce qui tient lieu de constitution, assure au président la réélection continuellement sans difficulté. La coalition souhaite mettre fin à cette parodie de démocratie, par un certain nombre d’actions, au rang des quelles un dialogue inclusif.
Selon la CORED, "...depuis que le président Obiang Nguema Mbasogo a déclaré à la télévision nationale que "la critique n’a pas sa place dans le pays", le pouvoir poursuit sa traque contre les opposants..." C’est d’après la CORED de monsieur Tomo Pedre German, cité comme témoin à charge dans le procès de l’affaire des biens mal acquis, contre le fils du président, qui aurait échappé miraculeusement à un assassinat fomenté par le pouvoir de Malabo, afin qu’il ne puisse pas aller témoigner ; les personnes engagées pour aller l’assassiner en Espagne l’auraient confondu avec son frère. Il y a aussi le cas au Royaume-Uni du président de la CORED, monsieur Abeso Ndong Salomon, qui aurait lui aussi échappé à un assassinat, en représailles à son procès en diffamation, au tribunal correctionnel de Paris, contre le président de la Guinée Equatoriale qui a été condamné le 3 octobre 2018. La Coalition équato-guinéenne de Paris indique également que le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, 75 ans, au pouvoir depuis 1979 détient le recordman de longévité pour un président en Afrique, s’appuyant sur un simulacre de multipartisme introduit à la faveur du vent d’Est en 1991, avec la quasi-totalité des partis politiques acquis à sa cause. Le parti démocratique de Guinée équatoriale (PDGE) du président Obiang Nguema Mbasogo ses 14 partis alliés ont la totalité des 75 sièges de sénateurs et ont été élus à la tête de toutes les mairies du pays, avec également 99 des 100 sièges de la Chambre des députés, où un unique député de l’opposition, membre du parti Citoyens pour l’innovation (CI) a été élu, dans la circonscription de la capitale Malabo.
Le pays est dirigé sans partage par le président et sa famille. Ils pourchassent et enlèvent de vrais opposants à son régime (même depuis leur exil), qui sont assassinés ou emprisonnés. C’est le cas de monsieur Nguema Mba Cipriano réfugié politique en Belgique, de messieurs Abeso Nsue Jose, Ndong Anseme Manuel, Ndong Asumu Alpio et de Micha Obiang Jacinto, dont les exécutions auraient été commanditées selon la coalition, par le président Obian en 2010. "...Et comme si cela ne suffisait pas, le régime équato-guinéen a cru bon, au mépris des conventions internationales, de faire kidnapper depuis le 28 septembre dernier, deux représentants des parties civiles dans l’affaire des biens mal acquis, pendante devant la cour d’appel de Paris, ces derniers bénéficiaient du statut de réfugiés politiques...", affirme monsieur Abeso Ndong Salomon, président de la CORED. Il évoque aussi les cas Francisco Micha en Espagne et de Fulgiencio Obiang Esono en Italie, ces dernier auraient été attirés par des propositions commerciales alléchants au Togo, "... pays où ils se sont rendus pour se voir dans un traquenard tendu pour les faire les neutraliser, les séquestrer et les extrader vers la Guinée Equatoriale où il sont incarcéré dans la prison de Black Beach connue pour ses tortures... un simulacre de procès vient de s’ouvrir contre eux dans la ville de Bata, accusés d’avoir participé au 14ème vrai-faux coup d’État qui a eu lieu sans le moindre coup de feu...".

Une cascade de coups d’état imaginaires
Au moment même où se tient à Bata le procès du "14ème coup d’état manqué" avec au bang des accusés Francisco Micha et Fulgiencio Obiang Esono, on annonce à Malabo qu’un 15ème coup de force contre le régime d’Obiang Nguema Mbasogo a été déjoué et que plusieurs cadres de partis politiques de l’opposition ont été arrêtés, dont Andres Esono Ondo, secrétaire général de Convergence pour la démocratie sociale (CPDS) l’unique parti d’opposition légalisé en Guinée Equatoriale, qui avait refusé de participer aux dernières élections présidentielles, en contestation la composition partisane de la Commission électorale nationale de Clemente Engonga Nguema Onguene, jugée très favorable au président sortant. La CORED dénonce une cascade de coups d’état imaginaires comme raisons pour traques l’opposition. On se souvient encore de Jesus Mitogo, président du Citoyen et Innovation (CI) unique député de l’opposition, élu dans la circonscription de la capitale Malabo, qui a été arrêté et incarcéré dès son élection. Ce dernier n’a jamais siégé à l’assemblée nationale et son parti politique a été dissout par un décret présidentiel. Pour être investi cette élection Jesus Mitogo avait remplacé à la tête du parti CI, monsieur Nse Obiang Gabriel, ex-lieutenant de l’armée revenu au pays après 13 années d’exil en Espagne, avait été interdit par la justice, de participer aux scrutins législatif, après s’être déjà vu interdit de prendre part à la présidentielle de 2016.
Monsieur Mitogo avait été condamné en février 2018, avec d’autres militants de CI, à plus de 30 ans de prison pour "sédition, désordre public, atteintes à l’autorité et blessures graves" suite à des échauffourées pendant la campagne des législatives en novembre 2017. En octobre dernier, le président de Guinée équatoriale gracié ce député de l’opposition, avec une trentaines d’autres, sans pour autant les libérer.
Quoi qu’il en soit, la coalition des partis d’opposition équato-guinéennes qui s’est réunie à Paris le 24 Avril, est déterminée a faire bouger les lignes. S’appuyant sur le message Pascale du Pape François aux fidèles chrétiens, la CORED prône l’apaisement et demande l’organisation d’une table ronde à Genève en Suisse, afin de mettre en place un véritable régime démocratique en guinée équatoriale. Le Pape François a dit qu’on ne doit pas abandonner "...ceux qui sont dans l’épreuve, dans la souffrance et dans le deuil et a invité à ne pas rester indifférents devant la souffrance pour que l’on ouvre nos cœurs aux besoins des personnes défavorisées et sans défense, des pauvres, des sans emploi, des personnes marginalisées, de ceux qui frappent à notre porte à la recherche de pain, d’un refuge et de la reconnaissance de leur dignité pour le continent africain, encore parsemé de tensions sociales, de conflits et parfois d’extrémismes violents qui provoquent l’insécurité, la destruction et la mort".

François ABY DONACK
Correspondant en France

 
Compartir este post
Repost0
Para estar informado de los últimos artículos, suscríbase:
Comentar este post